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Page:Zola - Naïs Micoulin, 1884.djvu/247

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Louise sous le berceau de volubilis, et je la vois baisant les cheveux de Lucien et de Marguerite. Décidément, ces Parisiennes sont trop compliquées pour un provincial de mon espèce. Il faut que je dorme. Je tâcherai de comprendre demain.