Page:Zola - Thérèse Raquin, Lacroix, 1868.djvu/42

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la boutique. Thérèse, vivant dans une ombre humide, dans un silence morne et écrasant, voyait la vie s’étendre devant elle, toute nue, amenant chaque soir la même couche froide et chaque matin la même journée vide.