Paris, ses organes, ses fonctions et sa vie dans la seconde moitié du XIXe siècle/T2 PJ
PIÈCES JUSTIFICATIVES
NUMÉRO 1
Il est intéressant de voir, en regard des impôts anciens et abolis, le relevé des impôts que le vin paye aujourd’hui. On lit dans le Moniteur universel du 13 septembre 1869 :
« Le Progrès de Lyon a fait un curieux relevé de ce que paye d’impôt le vin. Le voici :
« 1. Impôt au profit de l’État, sous le titre de contribution foncière ;
« 2. Impôt au profit de l’État, sous le titre de passavant, exigible chaque fois qu’un propriétaire fait transporter du vin d’une de ses caves dans une autre ;
« 3. Impôt au profit de l’État, sous le titre d’acquit-à-caution, chaque fois que du vin est transporté dans un entrepôt ;
« 4. Impôt au profit de l’État, sous le titre de droit de congé, chaque fois que du vin est vendu à un particulier pour la consommation de sa maison ;
« 5. Impôt au profit de l’État, sous le titre de droit de détail, quand le vin est vendu par les débitants ;
« 6. Impôt au profit de l’État, sous le nom de licence, payable par le marchand en gros, qui a droit d’entrepôt ;
« 7. Impôt au profit de l’État, sous le nom de licence, payable par les débitants, pour droit d’entrepôt ;
« 8. Impôt au profit de l’Élat, sous le nom de licence, payable par le propriétaire qui veut vendre son vin en détail ;
« 9. Impôt au profit de l’État, sous le nom de licence, payable par le marchand distillateur ;
« 10. Impôt an profit de l’État, sous le nom de licence, payable par le propriétaire qui veut mettre dans son vin une quantité d’eau-de-vie pour composer des rogommes ;
« 11. Impôt au profit de l’État, sous le titre de droit d’entrée, payable pour le vin qu’on introduit dans les villes ;
« 12. Impôt au profit de l’État, sous le titre de navigation, lorsque le vin est transporté sur des rivières, même lorsqu’elles ne sont navigables qu’au moment de la fonte des neiges ;
« 13. Impôt au profit de l’État, sous le même titre, droit de navigation sur les canaux où le vin est taxé plus haut qu’aucune autre espèce de marchandises ;
« 14. Impôt au profit de l’État, sous le titre de décime de guerre, qui accroît d’un dixième la plus grande partie des treize impôts précédents ;
« 15. Impôt au profit des villes, sous le titre d’octroi ;
« 16. Impôt au profil des habitants de certaines villes qui, par des perceptions à leurs barrières, sur les vins, s’affranchissent en totalité ou en partie de leurs contributions personnelles et mobilières. »
NUMÉRO 2
Setier de froment. | Prix du marc d’argent pur. | ||||
1515-1530… | 2fr | 45 | 12fr | 35 | |
1530-1545… | 2 | 80 | 13 | 17 | |
1545-1560… | 2 | 20 | 13 | 17 | |
1599-1614… | 8 | 82 | 19 | 90 | Découverte de l’Amérique. |
1614-1627… | 9 | 98 | 20 | 27 | |
1627-1642… | 13 | 65 | 21 | 70 | |
1642-1663… | 16 | 53 | 24 | 90 | |
1663-1678… | 11 | 67 | 28 | 50 | |
1678-1693… | 11 | 85 | 28 | 67 | |
1693-1703… | 21 | 12 | 30 | 47 | Décadence de Louis XIV |
1703-1712… | 20 | 17 | 34 | » | |
1712-1727… | 20 | 30 | 36 | 99 | |
1727-1742… | 25 | 38 | 49 | 89 | |
1757-1772… | 23 | 12 | 49 | 89 | |
1772-1787… | 26 | 57 | 49 | 89 | |
1815-1830… | 31 | 62 | 55 | 16 | |
1830-1835… | 29 | 50 | 55 | 06 |
NUMÉRO 3
Ce joyeux séjour des plus agréables divertissements offre, en de très-grandes montres pleines de trésors inestimables, toutes les espèces les plus diverses de joyaux réunis dans la maison dite les Halles des Champeaux. Là, si vous en avez le désir et les moyens, vous pourrez acheter tous les genres d’ornements que l’industrie la plus exercée, l’esprit le plus inventif se hâtent d’imaginer pour combler tous vos désirs. Vouloir décrire, dans leurs détails, toutes les spécialités que renferment ces genres, ce serait allonger cet ouvrage et lui donner une longueur telle, qu’elle ferait naître l’ennui dans l’âme du lecteur, et lui montrerait combien l’auteur s’oublie quand il cherche des choses impossibles. Je ne veux pas toutefois omettre entièrement de dire que, dans quelques endroits des parties inférieures de ce marché, et pour ainsi dire sous des amas, des monceaux d’autres marchandises, se trouvent des draps plus beaux les uns que les autres ; dans d’autres, de superbes pelisses, les unes faites de peaux de bêtes, les autres d’étoffes de soie, d’autres enfin composées de matières délicates et étrangères, dont j’avoue ne pas connaître les noms latins. Dans la partie supérieure de l’édifice, qui forme comme une rue d’une étonnante longueur, sont exposés tous les objets qui servent à parer les différentes parties du corps humain : pour la tête, des couronnes, des tresses, des bonnets ; des peignes d’ivoire pour les cheveux, des miroirs pour se regarder, des ceintures pour les reins, des bourses pour suspendre au côté, des gants pour les mains, des colliers pour la poitrine, et autres choses de ce genre, que je ne puis citer, plutôt à cause de la pénurie des mots latins que faute de les avoir bien vues. Mais, pour que les splendeurs sans nombre de ces brillants objets, dont les variétés et le nombre infini s’opposent à une description complète et détaillée, puissent du moins être effleurées dans un ensemble superficiel, laissez-moi vous parler ainsi : dans ces lieux d’exposition, les regards des promeneurs voient sourire à leurs yeux tant de décorations pour les divertissements des noces et pour les grandes fêtes, qu’après avoir parcouru à demi une rangée, un désir impétueux les porte vers l’autre, et qu’après avoir traversé toute la longueur une insatiable ardeur de renouveler ce plaisir, non pas une fois ni deux, mais comme indéfiniment, en reprenant au commencement, leur ferait recommencer l’excursion, s’ils voulaient en croire leur désir.
Jean de Jeandun ; extrait du Tractatus de laudibus parisius.
NUMÉRO 4
MOIS. | ALOUETTES. | BÉCASSES. | CAILLES. | CERFS, CHEVREUILS, DAIMS. | FAISANS. | GRIVES ET MERLES. | LIÈVRES. | PERDRIX. | TOTAUX. |
1867-1868 | |||||||||
Septembre | 435 | 50 | 26 314 | 440 | 1 474 | 348 | 20 932 | 185 028 | 235 021 |
Octobre | 121 173 | 1 532 | 3 400 | 1 663 | 4 760 | 12 504 | 43 942 | 107 175 | 296 149 |
Novembre | 162 222 | 8 900 | 222 | 3 095 | 11 204 | 16 513 | 79 783 | 82 075 | 364 014 |
Décembre | 309 691 | 14 108 | 327 | 3 128 | 9 849 | 51 045 | 67 255 | 71 375 | 526 778 |
Janvier | 513 609 | 577 | 3 | 3 505 | 7 148 | 1 506 | 44 310 | 65 000 | 635 658 |
Février | 3 626 | 1 635 | 14 | 1 542 | 2 971 | 2 594 | 13 922 | 30 371 | 56 675 |
Totaux | 1 110 756 | 26 802 | 30 280 | 13 373 | 37 406 | 84 510 | 270 141 | 541 024 | 2 114 295 |
1888-1869 | |||||||||
Septembre | 125 | 66 | 12 474 | 409 | 1 385 | 175 | 20 829 | 129 817 | 164 980 |
Octobre | 310 611 | 1 016 | 2 251 | 1 348 | 6 725 | 11 336 | 49 089 | 87 193 | 469 569 |
Novembre | 218 038 | 8 438 | 252 | 3,249 | 16 694 | 20 407 | 76 842 | 68 164 | 411 784 |
Décembre | 143 415 | 6 372 | 107 | 2 990 | 19 037 | 11 066 | 77 083 | 55 292 | 315 362 |
Janvier | 71 336 | 4 890 | 56 | 2 526 | 15 062 | 14 781 | 45 097 | 55 301 | 209 049 |
Février | 13 163 | 1 380 | 648 | 1 474 | 4 405 | 4 661 | 18 145 | 19 737 | 63 613 |
Totaux | 756 688 | 22 162 | 15 488 | 11 996 | 63 008 | 62 426 | 287 085 | 415 504 | 1 634 357 |
NUMÉRO 5
L’an mil huit cent soixante-huit, le dix juillet, à dix heures moins cinq du soir,
Nous, Louis-Alexandre Tenaille, commissaire de police de la ville de Paris, plus spécialement chargé du quartier des Halles, officier de police judiciaire, auxiliaire de M. le procureur impérial.
Informé par le sieur Rouget Louis-Achille, gardien du pavillon des Halles no 11, affecté à la volaille, que le feu s’était déclaré depuis quelques instants dans le pavillon no 12, affecté à la vente au détail des beurres, des œufs, des viandes cuites, des graines et de la faïence.
Nous nous y sommes aussitôt transporté.
Ce pavillon est borné au nord par le pavillon à la volaille, dont il est séparé par une voie de 14 mètres, à l’ouest par le pavillon de la vente en gros des beurres, dont il est également séparé par une voie également de 14 mètres, au sud par la rue Berger et à l’est par la rue Pierre-Lescot.
À notre arrivée, nous avons reconnu que tout le sous-sol de ce pavillon, où sont les resserres renfermant les marchandises des titulaires, était en feu.
Ce feu, paraît-il, s’était communiqué à tout le sous-sol avec une rapidité effroyable, ce qui s’explique par la nature des marchandises et autres objets qui se trouvaient dans les resserres, et qui sont : des paniers en très-grande quantité, beaucoup contenant de la paille et des planches en sapin pour supporter les marchandises.
Ces resserres sont au nombre de deux cent quarante.
Sont arrivées en même temps que nous deux pompes que nous pensons être des postes de la mairie et de la direction générale des postes, rue Jean-Jacques Rousseau.
L’une d’elles s’est établie rue Pierre-Lescot, et l’autre, sur notre demande, a été établie dans le pavillon à la volaille.
Nous avons pensé que le meilleur était de combattre le feu par les caves des pavillons à la volaille et à la vente en gros des beurres, où des pompes peuvent facilement être amenées.
Pendant que nous nous trouvions dans les caves de la vente en gros des beurres, est arrivé le sieur Chauveau Louis, demeurant rue Saint-Denis, no 138, spécialement chargé de la direction matérielle du gaz sous les pavillons. Il arrivait pour fermer les compteurs, mais, par une fatalité bien malheureuse, toux les ustensiles se trouvaient justement renfermés dans le pavillon en feu, et, par une fatalité plus grande encore, comme il avait employé des ustensiles non appropriés aux appareils, il avait tordu la tige du compteur placé dans un regard extérieur, au pavillon 12, sur la rue Pierre-Lescot, sans pouvoir fermer le compteur, si bien qu’à chaque instant on craignait que la chaleur ne vînt à détruire ce compteur et à mettre le feu dans les grosses conduites qui ne mesurent pas moins de 10 centimètres de diamètre, ce qui aurait amené des malheurs incalculables.
En fort peu de temps sont arrivées plusieurs pompes, puis des chefs de service, entre autres M. le chef de la police municipale avec l’officier de paix Saint-Clair, des brigades centrales, choisi sans doute parce qu’il a commandé la brigade spéciale des Halles et qui a rendu les plus grands services par son activité, son intelligence personnelle et sa connaissance spéciale des localités.
M. le chef de la police municipale a fait demander, aussitôt son arrivée, les employés de la ville pour le gaz et pour les eaux.
De minute en minute arrivaient de nouvelles pompes, et l’on a pu en établir treize, tant au rez-de-chaussée que dans les sous-sols.
M. Radigon, architecte de la ville de Paris, spécialement chargé des Halles, manifestait la crainte que les tuyaux alimentant le compteur à gaz ne prissent feu, puisque ce compteur n’avait pu être fermé, la tige ayant été tordue par Chauveau ; aussi fit-il exécuter, dans la rue Pierre-Lescot, une tranchée qui lui permit, après avoir pris toutes les précautions si grandes en pareilles circonstances, de faire briser la conduite principale et de faire refermer aussitôt la partie alimentant le compteur avec les matériaux apportés à cet effet.
Nous avons entendu plusieurs employés du gaz qui blâmaient ce travail comme présentant de très-grands dangers ; cependant il fallut bien reconnaître qu’une fois ce travail terminé, tout danger d’explosion avait disparu.
Le feu, dans les caves, avait une telle intensité, qu’il était impossible de se tenir près des grilles, et c’est sans doute cette circonstance qui a empêché les pompiers d’établir leurs garnitures sur des pas-de-vis montés exprès aux conduites d’eau au pourtour du pavillon.
Avant onze heures, M. le préfet de police, avec M. le secrétaire général et tout l’état-major des pompiers, étaient présents sur le lieu du sinistre.
Vers onze heures et demie, la voûte, au centre du pavillon, s’écroulait avec un fracas épouvantable et formait un trou béant de plus de 100 mètres superficiels.
Malheureusement le caporal des pompiers Hartmann se trouvait sur cette voûte avec une lance de pompe pour projeter de l’eau par une ouverture existant dans cette voûte, et il fut entraîné, avec les matériaux, dans cette affreuse fournaise.
Au bruit occasionné par ce nouveau sinistre, nous nous sommes rendu sur les lieux et nous avons aperçu là un pompier qui, après avoir saisi un cordage et avoir été ramené jusqu’au sommet de la voûte, était retombé dans le feu.
Une échelle de fer, aussitôt mise dans cette fournaise, a permis à ce malheureux militaire d’être retiré dans un très-bref délai.
Nous pensions que ce pompier n’était autre que le caporal Hartmann, qui avait été porté aussitôt chez le sieur Baratte, restaurateur, rue Berger, no 8, où nous lui avons fait donner des secours par le docteur Chammartin, demeurant rue Bertin-Poirée, no 14, qui n’a pas quitté de la nuit le lieu du sinistre, non plus que son confrère, M. Marchand, demeurant rue de l’Aiguillerie, no 3.
Le docteur Chammartin avait reconnu que Hartmann avait tout le corps brûlé au troisième degré et qu’il ne pourrait vivre que quelques heures.
Nous l’avons fait porter de suite à l’hôpital des pompiers, rue du Faubourg-Saint-Martin.
Nous avons appris, un peu plus tard, par un officier des pompiers, qu’au moment où la voûte s’était ouverte et où Hartmann avait été englouti, il était resté comme mort, et que c’était le sergent Boulard (caserne du Château-d’Eau), qui s’était précipité dans la fournaise, avait attaché avec une promptitude incroyable son camarade, que l’on avait remonté anssitôt, et que c’était le sergent Boulard que nous avions vu retirer au moyen de l’échelle de fer.
Ce brave sergent n’avait eu qu’une blessure légère à la main.
À deux heures et demie du matin, on était complètement maître du feu.
Les blessés sont au nombre de sept, savoir :
Le sergent Boulard, les pompiers Lanjaer (contusionné) ; Hedieu, qui a été asphyxié et qu’on a dû saigner sur la place pour le rappeler à la vie ; le gendarme François Antonini, et les sieurs Lefebvre (Marie), courtier en bijoux, demeurant boulevard de Montrouge, no 35 (blessé à la main droite) ; Bataille (Pierre), cordonnier, 38 ans, demeurant rue Aubry-le-Boucher, no 20, (épaule démise) ; Chéron (Antoine-Eugène), 43 ans, porteur aux Halles, demeurant rue des Poiriers, no 10, qui a eu la plante des pieds brûlée.
Toutes ces blessures seront sans suites fâcheuses.
M. le général Soumain est resté une heure environ sur le lieu du sinistre.
On prétend que M. le général Schramm est venu également, mais nous ne l’avons point vu.
M. Doller, inspecteur général de l’approvisionnement de la ville de Paris, est arrivé un des premiers sur le lieu du sinistre, et son personnel des forts, encouragé par sa présence, a contribué pour une large part à l’extinction de l’incendie.
Quand on a été maître du feu, M. l’inspecteur général, secondé par nous, a pris les mesures nécessaires pour que l’approvisionnement de la capitale ne souffrît pas de l’événement que nous constatons.
À cinq heures du matin, il ne restait plus que deux pompes laissées par mesure de sûreté, vingt hommes du 9e de ligne et des sergents de ville en quantité suffisante pour nous permettre de faire garder le pavillon incendié de façon à ce que personne ne pût y pénétrer.
Il n’eût pas été prudent avant le refroidissement complet des voûtes de les surcharger inconsidérément.
Des gardes de Paris, des soldats envoyés de la caserne du Louvre et d’autres casernes, s’étaient retirés avec leurs officiers, ainsi que l’inspecteur divisionnaire Vassal, qui accompagnait M. le chef de la police municipale ; puis trois officiers de paix de l’arrondissement. M. Baruel est resté avec nous jusqu’à cinq heures du matin.
M. Le Clerc, notre collègue du quartier Bonne-Nouvelle, est arrivé à onze heures et demie et n’a quitté le lieu du sinistre qu’à trois heures du matin.
Les dégâts à supporter par la ville de Paris sont considérables.
Ils ne s’élèveront pas, paraît-il, à moins de cinq cent mille francs.
Les colonnes en fer placées au milieu de la voûte, où le foyer de l’incendie s’était trouvé concentré, ont été tordues par le feu d’une si terrible façon, que si celles qui supportaient les colonnes supérieures de la toiture avaient été atteintes de la même façon, tout le pavillon se serait écroulé, au moins d’après l’avis d’un homme spécial, M. Radigon, architecte de la ville.
Les titulaires des deux cent quarante places sont au nombre de cent soixante-trois ; et les pertes éprouvées par ces industriels peuvent être approximativement fixées à cent vingt mille francs.
Nous avons aussitôt et sur les lieux mêmes ouvert une enquête dans laquelle nous avons vu qu’il était utile d’entendre les sieurs :
1° Hertz, gardien de service cette nuit au pavillon incendié ;
2° Angeli, garde de Paris, 1re compagnie, 2e bataillon, également de service de nuit dans le pavillon au moment où le feu s’est déclaré ;
3° Rouget, gardien du pavillon no 11, qui un des premiers s’est aperçu que le feu existait dans les caves du pavillon no 12 ;
4° Barbachou, garçon de café, rue de la Cossonnerie, no 14 ;
5" Violette, marchand des quatre-saisons, demeurant rue Pierre-Lescot, no 2 ;
6° Chatelard, marchand d’ustensiles de ménage, rue Pierre-Lescot, no 2 ;
Les déclarations de ces témoins ont été reçues dans des procès verbaux séparés du présent et qui lui feront suite.
De ce qui précède, nous avons fait et rédigé le présent procès verbal, que nous avons signé.
NUMÉRO 6
CATÉGORIES. | NOMBRE. | VALEUR. | CATÉGORIES. | NOMBRE. | VALEUR. | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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CATÉGORIES. | NOMBRE. | VALEUR. | CATÉGORIES. | NOMBRE. | VALEUR. | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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CATÉGORIES. | NOMBRE. | VALEUR. | CATÉGORIES. | NOMBRE. | VALEUR. | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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NUMÉRO 7
1850………… | 2 053 924 000 | francs. |
1851………… | 1 947 128 000 | — |
1852………… | 2 842 266 000 | — |
1853………… | 4 271 394 000 | — |
1854………… | 4 213 507 000 | — |
1855………… | 5 239 842 000 | — |
1856………… | 6 313 534 000 | — |
1857………… | 6 571 544 000 | — |
1858………… | 5 734 542 000 | — |
1859………… | 6 652 569 000 | — |
1860………… | 6 340 560 000 | — |
1861………… | 6 556 688 000 | — |
1862………… | 7 783 790 000 | — |
1863………… | 7 542 270 000 | — |
1864………… | 7 909 320 000 | — |
1865………… | 7 422 604 000 | — |
1866………… | 8 292 773 000 | — |
1867………… | 7 372 875 000 | — |
1868………… | 7 100 678 000 | — |
1869………… | 8 325 682 000 | — |
1870………… | 8 499 185 000 | — |
1871………… | 10 594 320 000 | — |
1872………… | 15 675 596 000 | — |
1873………… | 16 715 331 000 | — |