Poèmes à Lou/L’adieu du cavalier
LXXIV
[L’ADIEU DU CAVALIER][1]
Ah Dieu ! que la guerre est jolie
Avec ses chants ses longs loisirs
La bague si pâle et polie
Et le cortège des désirs
Adieu ! voici le boute-selle…
Il disparut dans un tournant
Et mourut là-bas tandis qu’elle
Cueillait les fleurs en se damnant
- ↑ Note wikisource : le texte que nous proposons ici provient d’une autre source indéterminée