Poèmes à Lou/Tourbillon de mouches

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Œuvres poétiques (extraits) Poèmes à LouGallimard, Bibliothèque de la Pléiade (p. 500).

LXXIII

[TOURBILLON DE MOUCHES][1]


Un cavalier va dans la plaine
La jeune fille pense à lui
Et cette flotte à Mytilène
Le fil de fer est là qui luit
Comme ils cueillaient la rose ardente
Leurs yeux tout à coup ont fleuri
Et quel soleil la bouche errante
A qui la bouche avait souri.

  1. Note wikisource : le texte que nous proposons ici provient d’une autre source indéterminée