Poésies de Frédéric Monneron/La même (I)
III
sous une autre forme 2.
Quand nous embrassons tout l’espace |
On nous pardonnera sans doute d’avoir donné cette poésie sous ces deux formes. Ce qui nous y a déterminé, c’est la conclusion, qui est également belle dans les deux. Nous ne pouvions nous résoudre à sacrifier ni l’une ni l’autre.
La première version se trouve dans le plus grand nombre des autographes et des copies ; la seconde est celle qu’a publiée la Revue Suisse en 1838.