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{{table| indentation =-1|titre=La France et Paris ne se reconnaissent plus. — Les ruraux. — Les prétentions de Paris. — Conflit entre Paris et l’Assemblée nationale. — Antipatriotisme des révolutionnaires. — Les comités de vigilance. — Indécision. — Les soldats vaguant dans les rues. — L’internationale
{{table| indentation =-1|titre=La France et Paris ne se reconnaissent plus. — Les ruraux. — Les prétentions de Paris. — Conflit entre Paris et l’Assemblée nationale. — Antipatriotisme des révolutionnaires. — Les comités de vigilance. — Indécision. — Les soldats vaguant dans les rues. — L’internationale
intervient. — Fédération des bataillons. — Apparition du Comité central. — Le prétexte de la fédération de la garde nationale est la volonté de s’opposer à l’entrée de l’armée allemande dans Paris. — Tentatives des chefs de la Commune pour établir des relations avec les généraux allemands. — Manifestations sur la place de la Bastille. — Le meurtre <includeonly> de Vincenzini. — Les Peaux-Rouges. — 25 000 repris de justice. — Entrée des Allemands dans Paris. — Les bataillons fédérés ne bougent pas. — L’Assemblée décide qu’elle siègera à Versailles. — La loi des échéances. — Les maladresses de l’Assemblée nationale fortifient l’action du Comité central. — Suppression de la solde des gardes nationaux. — Souvenir de février 1848. — Il fallait racheter les armes. — Révolte ouverte. — Les forteresses populaires. — Les canons. — {{MM.}} Thiers et Saint-Marc Girardin. — On se résout à agir. — Le 18 mars. — Assassinats. — {{M.}} Thiers ordonne la retraite sur Versailles et l’évacuation des forts. — Paris est abandonné à l’émeute. — L’action et la stratégie du Comité central. — La fusillade de la place Vendôme. — La guerre fraternelle. — L’ivresse furieuse. — Compétitions de pouvoir. — Les comités. — Violences et mensonges. — La prose de Félix Pyat. — Dénombrement. — L’armée de la Commune.
intervient. — Fédération des bataillons. — Apparition du Comité central. — Le prétexte de la fédération de la garde nationale est la volonté de s’opposer à l’entrée de l’armée allemande dans Paris. — Tentatives des chefs de la Commune pour établir des relations avec les généraux allemands. — Manifestations sur la place de la Bastille. — Le meurtre <includeonly> de Vincenzini. — Les Peaux-Rouges. — 25 000 repris de justice. — Entrée des Allemands dans Paris. — Les bataillons fédérés ne bougent pas. — L’Assemblée décide qu’elle siègera à Versailles. — La loi des échéances. — Les maladresses de l’Assemblée nationale fortifient l’action du Comité central. — Suppression de la solde des gardes nationaux. — Souvenir de février 1848. — Il fallait racheter les armes. — Révolte ouverte. — Les forteresses populaires. — Les canons. — {{MM.}} Thiers et Saint-Marc Girardin. — On se résout à agir. — Le 18 mars. — Assassinats. — {{M.}} Thiers ordonne la retraite sur Versailles et l’évacuation des forts. — Paris est abandonné à l’émeute. — L’action et la stratégie du Comité central. — La fusillade de la place Vendôme. — La guerre fraternelle. — L’ivresse furieuse. — Compétitions de pouvoir. — Les comités. — Violences et mensonges. — La prose de Félix Pyat. — Dénombrement. — L’armée de la Commune.
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Version du 21 août 2021 à 04:46

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Préface

CHAPITRE PREMIER

LES FORCES DE L’INSURRECTION

i. — LA GARDE NATIONALE.
Avant-propos. — Une citation de Proudhon. — Sources historiques. — Autorités multiples, absence d’autorité. — La citadelle de la révolution. — Deux armées. — Les patriotes terribles. — Le 31 octobre. — Diversions révolutionnaires au profit de l’Allemagne. — Le plébiscite du gouvernement de la Défense nationale. — Défaillance gouvernementale. — On n’utilise aucune des forces parisiennes contre l’ennemi. — Défiance entre les généraux et la garde nationale. — Hostilité systématique de la population. — Ivrognerie et fainéantise. — Vive la paix ! — Mortalité. — Le combat de Buzenval livré pour faire accepter la capitulation. — Le 22 janvier. — L’armistice. — 28 000 officiers de garde nationale. — Émigration. — M. de Bismarck offre de faire désarmer la garde nationale. — Refus de M. Jules Favre. — Le général Trochu propose de réorganiser la garde nationale, le gouvernement repousse la proposition. — Irritation générale. — La Vendée laïque et radicale. — Ce qui a le moins souffert pendant le siège, c’est le prolétariat. — Héroïsme de la petite bourgeoisie. — Les fous et les singes. — Une citation de M. Alphonse Daudet. 
  1.
ii. — LE COMITÉ CENTRAL.
La France et Paris ne se reconnaissent plus. — Les ruraux. — Les prétentions de Paris. — Conflit entre Paris et l’Assemblée nationale. — Antipatriotisme des révolutionnaires. — Les comités de vigilance. — Indécision. — Les soldats vaguant dans les rues. — L’internationale intervient. — Fédération des bataillons. — Apparition du Comité central. — Le prétexte de la fédération de la garde nationale est la volonté de s’opposer à l’entrée de l’armée allemande dans Paris. — Tentatives des chefs de la Commune pour établir des relations avec les généraux allemands. — Manifestations sur la place de la Bastille. — Le meurtre