« Page:Nietzsche - Ainsi parlait Zarathoustra.djvu/428 » : différence entre les versions

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Ainsi parla le vieil enchanteur, et les hommes supérieurs l’acclamèrent: en sorte que Zarathoustra se mit à circuler dans sa caverne, secouant les mains de ses amis avec méchanceté et amour, - comme quelqu’un qui a quelque chose à excuser et à réparer auprès de chacun. Mais lorsqu’il arriva à la porte de sa caverne, voici, il eut de nouveau envie du bon air qui régnait dehors et de ses animaux, - et il voulut se glisser dehors.
Ainsi parla le vieil enchanteur, et les hommes supérieurs l’acclamèrent : en sorte que Zarathoustra se mit à circuler, secouant les mains de ses amis avec méchanceté et amour, comme quelqu’un qui a quelque chose à excuser et à réparer auprès de chacun. Mais lorsqu’il arriva à la porte de sa caverne, voici, il eut de nouveau envie du bon air qui régnait dehors et de ses animaux, et il voulut se glisser dehors.
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Version du 1 juin 2012 à 22:31

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Ainsi parla le vieil enchanteur, et les hommes supérieurs l’acclamèrent : en sorte que Zarathoustra se mit à circuler, secouant les mains de ses amis avec méchanceté et amour, — comme quelqu’un qui a quelque chose à excuser et à réparer auprès de chacun. Mais lorsqu’il arriva à la porte de sa caverne, voici, il eut de nouveau envie du bon air qui régnait dehors et de ses animaux, — et il voulut se glisser dehors.

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