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« Page:Verne - Voyage au centre de la Terre.djvu/139 » : différence entre les versions

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[[Fichier:Voyageaucentrede00vernuoft raw 0139 1.png|thumb|500px|Je songeai aux secours du ciel.]]
guider dans ce labyrinthe, et qui ne saurait casser, mon fidèle ruisseau. Je n’ai qu’à remonter son cours, et je retrouverai forcément les traces de mes compagnons. »
guider dans ce labyrinthe, et qui ne saurait casser, mon fidèle ruisseau. Je n’ai qu’à remonter son cours, et je retrouverai forcément les traces de mes compagnons. »

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Ce raisonnement me ranima, et je résolus de me remettre en marche sans perdre un instant.
Ce raisonnement me ranima, et je résolus de me remettre en marche sans perdre un instant.



Version du 4 janvier 2014 à 15:57

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Je songeai aux secours du ciel.

guider dans ce labyrinthe, et qui ne saurait casser, mon fidèle ruisseau. Je n’ai qu’à remonter son cours, et je retrouverai forcément les traces de mes compagnons. »

Ce raisonnement me ranima, et je résolus de me remettre en marche sans perdre un instant.

Combien je bénis alors la prévoyance de mon oncle, lorsqu’il empêcha le chasseur de boucher l’entaille faite à la paroi de granit ! Ainsi cette bienfaisante source, après nous avoir désaltéré pendant la route, allait me guider à travers les sinuosités de l’écorce terrestre.

Avant de remonter, je pensai qu’une ablution me ferait quelque bien.