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« Page:Pierre de Coubertin - Chronique de France, 1903.djvu/101 » : différence entre les versions

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l’illustre philosophe vécut la partie la plus féconde
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de france

rent tant de fois l’intégrité de son sol et l’harmonie de ses institutions. Il n’y avait qu’une personne dont on put décemment parler devant ce chef gaulois à la fois si populaire et si inconnu, et cette personne c’était la France. Il en fut peu question. Les orateurs préférèrent chanter les beautés de la guerre civile et dire du mal de leurs adversaires politiques ; ils se plurent pourtant en un rapprochement un peu bouffon qui transforma Vercingétorix en lutteur anticlérical. N’était-ce pas contre la domination romaine que le héros cherchait à soulever les Gaules ? Voilà qui établit entre lui et M. Combes un parallèle savoureux autant qu’imprévu.

Rancunes étranges.

La statue de Jules Simon a été enfin érigée là où il convenait qu’elle fut, c’est à dire sur la place de la Madeleine à Paris, devant la maison où l’illustre philosophe vécut la partie la plus féconde et la plus utile de sa noble vie. À l’occasion de la publication d’un livre posthume où son âme déli-