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Version du 18 avril 2015 à 19:19
Vous êtes d’incomparables amis. Une amitié comme la vôtre ne se paie que d’admiration. Nous lisons vos lettres à table, Victor est le lecteur solennel. Dites à Meurice que son abnégation de ses propres affaires me touche aux larmes, et dites-vous le à vous-même.
Je vous envoie une première page pour M. Louvet et une lettre pour Pelletan.
Vos trente lignes dans la Presse sont un élixir où tout est condensé et dit. Nous avons reçu en même temps le Temps et l’Opinion nationale. — Il me paraît impossible que le livre ait paru à Bruxelles avant de paraître à Paris. L’énormité serait trop forte. Parfait se sera trompé. En somme, grâce à vous, tout est bien. Merci, merci, merci, et tout mon cœur avec.
Vous avez raison, il faut :
et je regrette que cette grosse faute soit dans l’édition belge. Cher Auguste,
je suis tout heureux que vous soyez content. Vous savez que tout ce qui
vient d’un esprit comme le vôtre est une force en même temps qu’une
lumière, et en m’applaudissant vous m’appuyez. J’entends ici l’appui intérieur plus nécessaire encore que l’appui extérieur. La vie est dans votre
esprit et je l’y sens, de là plus de force en moi. Et je vous aime, et je vous
remercie. Je n’ai pas vu l’article de Paul Foucher dans l’Indépendance. Avez-vous reçu et envoyé ma lettre à Pelletan ? Avez-vous reçu vendredi dernier
une grosse lettre de moi contenant des envois pour Janin, Hetzel, Peyrat,
Delord, Texier ?
Voulez-vous faire parvenir ces deux lettres ? vous voyez que pour tout, pour les petites choses comme pour les grandes, je m’appuie sur vous, c’est que vous êtes robuste et puissant.
Tous les détails que vous nous donnez nous charment. Victor les trans-