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Version du 4 mars 2018 à 11:27
essentiel, sans parler de tout ce que le campement nécessite d’interventions de tout genre.
Ne serait une erreur de ne point profiter du passage du futur instituteur au régiment pour parachever ce qui s’est fait à l’EcoLe normale. A l’autorité académique d’étudier avec l’autorité militairela façon dontce résultat serait le mieux atteint, non seulement en facilitant à ceux qui le désirent, le stage à l’école de Joinville, mais en prenant soin que les autres reçoivent l’affectation ta plus aple à perfectionner en eux, les qualités d’éducateurs et principalement d’éducateurs physiques dont ils auraient à faire l’application aucours de leurcarrière. Leur perfectionnement comme tireurs doit particulièrement attirer l’attention des pouvoirs publics. L’insuffisant et maussade appui donné pendant si longtemps aux sociétés de tir est aujourd’hui l’objet du regret général. La guerre a montré combien cette économie fut maladroite. Il n’est pas de mon ressor de réclamer l’établissement dans chaque chef-lieu de canton, d’un stand complet et je n’ose en demander un pour chaque Ecole normale. Mais si l’on veut que le tir progresse comme il le faut, que du moins les mesures soient prises pour faire de l’instituteur-soldat un tireur expert capable d’aider efficacement à l’entratnement des générations suivantes.