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au ciel & en la terre, la varieté |
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‘z LE BIEN UN_rvxxszL.Liv.I.' |
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des especes de la nature des choses |
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qu’elles contiennent ; & elles |
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portent des merveilles & des prodiges, |
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qui sont comme des grands |
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livres, exprimans les grandeurs |
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de nostre Createur, & nous enseignans |
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les voies & les sentiers |
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qu’il nous faut franchir, pour |
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parvenir un jour à nostre souverain |
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bonheur. |
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Entre les especes de la nature |
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au ciel 8: en la terre, la varieré |
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des |
des animaux, celle des Formies |
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est vraiement digne de consideration : |
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fes qu‘elles contiennent a 84 elles |
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puis que ces petites bestes |
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portêt des merveilles 8e des pro— |
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representent de tous points, les |
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diges, qui l'ont comme des grands |
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devoirs ou les fonctions Chrestiennes, |
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livres, exprimans les grandeurs |
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& non seulement ce que |
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de nolire Creareur,& nous enl‘ei- |
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le peuple doit a Dieu & au public ; |
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gnans les voies“ a: les l‘entiers |
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mais principalement elles |
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qu'il nous faut franchir , pour |
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enseignent le Clergé , & monstrent |
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parvenir un jour s‘mofire l'ouve- |
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la diligence que les Reguliers |
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rain bonheur. |
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devots doivent, pour |
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' Entre les efpeces de la nature |
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estre dignes de posseder nostre |
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des animaux, celle des Formies |
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Seigneur, pour, selon le Psalmist, |
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efl: vraicment digne de confidera- |
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part & portion de leur herirage, |
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tion: puis que ces petites befles |
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& de leur calice. Ce que nous avoüerons |
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reprefentent de tous points , les |
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si nous recognoissons |
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devoirs ou les fonâions Chre— |
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la diligence, le foin, & le travail, |
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fiienncs, 8c non feulcment ce que |
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que journellement il nous convient |
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le peuple doit a Dieu a: au pu- |
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rendre à Dieu & au prochain, |
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pour en effect, ou par |
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enl'eignent’le Clergé , de mon— |
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œuvres observer la justice Chrestienne, |
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& ce qui est de la perfection |
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guliers devots doivent , pour |
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religieuse. Car encore que |
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el'tre dignes de polfeder nolÏre |
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toutes conditions de personnes |
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Seigneur,pour, felon le Pl'almil'i, |
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doivent fuir la paresse, & s’occuper |
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part 8c portion de leur herirage , |
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en diligence és œuvres fructueuses |
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8c deleur calice. Ce que nous a- |
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ou utiles ; toutefois ceux |
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voüerons .fi nous recognoifl'ons |
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qui se sont dedié au service de |
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la diligence, le foin, 8c le travail, |
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Dieu & de sa chere Espouse l’Eglise, |
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que journellement il nouscon— |
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doivent bien plus assiduement, |
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vient rendre‘a Dieu 6c au pro- |
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& avec plus de ferveur de |
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chain , pour en efl’eâ: ,ou par |
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pieté & de devotion s’emploier, |
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œuvres oblèrvcr la juliice Chre' |
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afin d’accomplir leurs offices, |
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fiienne , de ccqui eli de la perfe— |
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pour la perfection de ce service. |
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toutes conditions de perfonnes |
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per en diligence és œuvres fru- |
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Or voicy comme les Formies |
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qui l'e font dedie’ au l'ervice de |
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montrent le Bien universel, pour |
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Dieu 8c de fa chere El'poul'e l' E— |
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lequel toute l’Eglise doit journelement |
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travailler : Premierement ; |
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''elles ensevelisent les morts : puis s’emploient'' |
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afin d'accomplir leurs oŒecs , |
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& aucunes és voies & chemins adressent |
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pour la perfeé’tion de‘ce fervice. |
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celles qui se fourvoient, & aident |
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Or voicy comme les Formies |
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celles qui succombent sous leurs |
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montrent-le Bien univerfel, pour. |
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charges par leurs foiblesses & impuissances''. |
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lequel toute l'Eglil'e doit journe— |
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Voilà ce que fait le commun |
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lcment travailler: Premierement; |
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des mortels : car fort souvent |
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ploient c’r œuvrer utiles à [martea— |
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& aussi s’occuper és travaux en |
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toute deligence des œuvres utiles |
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& fructueuses : plusieurs s’estudient |
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charges par leur: faiblcfli: (7 imparf— |
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les autres à leur bien particulier |
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fanm. Voilà. ce que fait le com- |
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& universel, & s’efforcent de |
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mun des mortels: car fort l'ouvét |
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les preserver des violences, & de |
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on les voit enfevelir les morts , |
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les souslever dans l’oppression. |
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Mais, c’est grand dommage, que |
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toute deligence des œuvres utiles |
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monde les hommes se rendent |
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dient l'oigneulèment our adref- |
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mutuellement, ont si souvent & |
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lèr les autres à leur bien particu- |
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ordinairement l’interest pour motif, |
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& que si rarement la raison de |
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Version du 29 mars 2018 à 07:01
au ciel & en la terre, la varieté des especes de la nature des choses qu’elles contiennent ; & elles portent des merveilles & des prodiges, qui sont comme des grands livres, exprimans les grandeurs de nostre Createur, & nous enseignans les voies & les sentiers qu’il nous faut franchir, pour parvenir un jour à nostre souverain bonheur.
Entre les especes de la nature des animaux, celle des Formies est vraiement digne de consideration : puis que ces petites bestes representent de tous points, les devoirs ou les fonctions Chrestiennes, & non seulement ce que le peuple doit a Dieu & au public ; mais principalement elles enseignent le Clergé , & monstrent la diligence que les Reguliers devots doivent, pour estre dignes de posseder nostre Seigneur, pour, selon le Psalmist, part & portion de leur herirage, & de leur calice. Ce que nous avoüerons si nous recognoissons la diligence, le foin, & le travail, que journellement il nous convient rendre à Dieu & au prochain, pour en effect, ou par œuvres observer la justice Chrestienne, & ce qui est de la perfection religieuse. Car encore que toutes conditions de personnes doivent fuir la paresse, & s’occuper en diligence és œuvres fructueuses ou utiles ; toutefois ceux qui se sont dedié au service de Dieu & de sa chere Espouse l’Eglise, doivent bien plus assiduement, & avec plus de ferveur de pieté & de devotion s’emploier, afin d’accomplir leurs offices, pour la perfection de ce service.
Or voicy comme les Formies montrent le Bien universel, pour lequel toute l’Eglise doit journelement travailler : Premierement ; elles ensevelisent les morts : puis s’emploient és œuvres utiles & fructueuses ; & aucunes és voies & chemins adressent celles qui se fourvoient, & aident celles qui succombent sous leurs charges par leurs foiblesses & impuissances. Voilà ce que fait le commun des mortels : car fort souvent on les voit ensevelir les morts, & aussi s’occuper és travaux en toute deligence des œuvres utiles & fructueuses : plusieurs s’estudient soigneusement pour adresser les autres à leur bien particulier & universel, & s’efforcent de les preserver des violences, & de les souslever dans l’oppression. Mais, c’est grand dommage, que ces devoirs civiles, que parmy le monde les hommes se rendent mutuellement, ont si souvent & ordinairement l’interest pour motif, & que si rarement la raison de charité ou de justice Chrestienne les animent. Voilà pourquoy devant Dieu, ces œuvres font de si differens merites : car aucuns ne songent que pour leurs neces- lite;