Aller au contenu

« Page:Bataille - Théâtre complet, Tome 1, 1922.djvu/160 » : différence entre les versions

La bibliothèque libre.
 
État de la page (Qualité des pages)État de la page (Qualité des pages)
-
Page corrigée
+
Page validée
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 1 : Ligne 1 :
<nowiki/>

{{Personnage|GRAND’MÈRE.|c}}
{{Personnage|GRAND’MÈRE.|c}}


Ligne 15 : Ligne 17 :
Raison de plus… Tu ne m’as pas l’air d’avoir réfléchi beaucoup à ton projet… Si tu tiens à partir, prends l’institutrice du petit… ou mieux, quelqu’une de tes vieilles amitiés disponibles… tiens, ton excellent ami, le capitaine Fith.
Raison de plus… Tu ne m’as pas l’air d’avoir réfléchi beaucoup à ton projet… Si tu tiens à partir, prends l’institutrice du petit… ou mieux, quelqu’une de tes vieilles amitiés disponibles… tiens, ton excellent ami, le capitaine Fith.


{{PersonnageD|GRAND’MÈRE|c|sèche.}}
{{PersonnageD|GRAND’MÈRE|c|(sèche.)}}


Ces plaisanteries sont hors de propos. J’emmènerai Marthe parce qu’elle est indispensable à ton frère. Elle seule peut le soigner.
Ces plaisanteries sont hors de propos. J’emmènerai Marthe parce qu’elle est indispensable à ton frère. Elle seule peut le soigner.

Version du 5 octobre 2018 à 10:15

Cette page a été validée par deux contributeurs.

GRAND’MÈRE.

Mais c’est aussi pour elle que je ferai ce voyage…

MAXIME.

Tu perds la tête… une aveugle en voyage ! À aucun prix… partir avec elle serait une folie et un danger pour vois trois…

GRAND’MÈRE.

Je ne puis voyager toute seule avec Daniel cependant…

MAXIME.

Raison de plus… Tu ne m’as pas l’air d’avoir réfléchi beaucoup à ton projet… Si tu tiens à partir, prends l’institutrice du petit… ou mieux, quelqu’une de tes vieilles amitiés disponibles… tiens, ton excellent ami, le capitaine Fith.

GRAND’MÈRE, (sèche.)

Ces plaisanteries sont hors de propos. J’emmènerai Marthe parce qu’elle est indispensable à ton frère. Elle seule peut le soigner.

MAXIME.

À aucun prix… c’est de la démence… D’ailleurs, ce voyage n’a aucun sens au fond. Rien ne t’oblige à t’en aller… Reste, c’est simple.