Une femme m’apparut/1905/31
Apparence
< Une femme m’apparut | 1905
Alphonse Lemerre, éditeur, 1905 (nouv. éd.) (p. 153).
XXXI
Le cœur désolé, l’âme plus désolée encore, j’allai vers la maison de Lorély. Elle seule pouvait éclairer, pouvait embaumer pitoyablement ma nuit misérable.
Avec un déchirant espoir, je frappai à la porte…
Et nul ne me répondit.