Waverley/Chapitre LXV

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Waverley ou Il y a soixante ans
Traduction par Albert Montémont.
Ménard (Œuvres de Walter Scott, volume 5p. 459-467).


CHAPITRE LXV.

NOUVELLE EXPLICATION.


Dès la pointe du jour, la vieille Jeannette se mit à aller et venir dans la maison pour éveiller le baron qui dormait ordinairement d’un sommeil profond.

« Il faut que je retourne à ma retraite, dit-il à Waverley ; voulez-vous y venir avec moi ? »

Ils sortirent ensemble et suivirent un petit sentier étroit et embarrassé, que les pêcheurs et les bûcherons avaient tracé le long du ruisseau. Chemin faisant, le baron expliqua à Waverley qu’il pourrait sans danger rester quelques jours à Tully-Veolan et même se montrer aux environs, s’il prenait la précaution de se dire chargé d’examiner la propriété par un gentilhomme anglais qui voulait l’acheter. Il lui recommanda d’aller voir le bailli, qui demeurait encore dans la maison du fermier, au petit Veolan, quoiqu’il dût la quitter très-prochainement. Le passe-port de Stanley devait répondre à toutes les questions de l’officier commandant des troupes ; quant aux habitants qui pourraient reconnaître Waverley, le baron lui garantit qu’aucun d’eux ne le trahirait.

« Je suis sûr que la moitié des vassaux de la baronnie, continua-t-il, savent que le vieux laird est dans ces environs, car je m’aperçois qu’ils ne laissent pas même venir ici un enfant pour dénicher des oiseaux, chose que je n’avais jamais pu empêcher complètement quand j’étais en pleine jouissance de mon pouvoir de baron. Souvent même j’ai trouvé sur ma route des provisions que les pauvres gens y déposaient, parce qu’ils pensaient que j’en avais besoin. Dieu les bénisse ! Je leur souhaite un seigneur plus prudent et aussi bon que je l’étais pour eux ! »

Il ne put retenir un soupir ; mais la résignation avec laquelle il supportait son malheur avait quelque chose de respectable et même de sublime. Il ne se laissait point aller à des plaintes inutiles, à une mélancolie chagrine ; il portait son fardeau avec une patience aisée mais grave, sans proférer de plaintes contre le parti dominant.

« J’ai fait ce que je croyais mon devoir, disait-il, et sans doute ils font ce qu’ils croient être le leur. Je m’afflige quelquefois en jetant les yeux sur ces murs noircis de la demeure de mes ancêtres, mais les officiers ne parviennent pas toujours à empêcher les soldats de piller et de dévaster ; et Gustave-Adolphe lui-même le permit souvent, dans l’expédition du colonel Munro avec le régiment écossais appelé régiment de Mackay… Et en vérité, j’ai vu moi-même des châteaux en aussi triste état que l’est maintenant Tully Veolan, quand je servais sous le maréchal de Berwick. Je puis certainement dire avec Virgile Fuimus Troes[1], et voilà la fin d’un vieil air. Mais les races, les familles, les hommes sont restés debout assez long-temps quand ils tombent avec honneur. Et maintenant j’ai atteint ma retraite, qui ne diffère guère d’une domus ultima[2]. » Ils étaient alors au bas d’un rocher. « Nous autres pauvres jacobites, continua le baron en levant les yeux, nous sommes comme ces lapins de l’Écriture que le grand voyageur Pocoke appelle Jerboa[3], une race persécutée, qui habite les rochers. Adieu donc, bon jeune homme ; à ce soir chez Jeannette. Il faut que je rentre dans mon Patmos[4], ce qui n’est pas chose facile pour mes vieux membres.

Il commença alors à gravir en s’aidant des pieds et des mains, jusqu’à ce qu’il atteignît quelques buissons qui cachaient une ouverture semblable à la bouche d’un four ; le baron passa d’abord sa tête et ses épaules, et fit entrer ensuite peu à peu le reste de son corps ; enfin ses jambes et ses pieds disparurent : on eût dit un énorme serpent se blottissant dans son trou, ou un immense arbre généalogique introduit avec peine et difficulté dans l’étroit pigeonnier d’un cabinet d’antiques. Waverley eut la curiosité de grimper aussi et de le visiter dans son antre, comme on pouvait appeler cette retraite. Il n’y ressemblait pas mal à ce qu’on appelle un dévidoir dans une bouteille, énigme si surprenante pour les enfants (et aussi pour quelques grandes personnes, pour moi, par exemple), qui ne peuvent comprendre comment il y est entré ni comment il en sortira. Elle était très-étroite, trop basse pour s’y tenir debout, et presque pour s’y asseoir, quoique le baron essayât de se tenir dans cette posture. Son seul amusement était de parcourir son vieil ami Tite-Live, ou d’écrire avec son couteau des citations latines ou des textes de l’Écriture sur la pierre de grès qui formait les parois de la caverne, laquelle du reste était sèche et remplie de paille et de bruyère. « C’était, disait-il en s’y blottissant d’un air de contentement qui contrastait singulièrement avec sa situation, un gîte très-passable pour un vieux soldat, quand le vent du nord ne soufflait pas. D’ailleurs, ajoutait-il, il ne manquait pas de sentinelles pour veiller sur lui. Davie et sa mère étaient continuellement en faction pour découvrir et détourner le danger et l’en avertir. Et c’était une chose surprenante de voir combien l’affection instinctive donnait d’adresse à ce pauvre idiot, quand il s’agissait de la sûreté de son maître.

Édouard songea dès ce moment à avoir une explication avec Jeannette. Il l’avait reconnue à la première vue pour la vieille femme qui l’avait soigné dans sa maladie, quand il était sorti des mains de Gifted Gilfillan. La cabane aussi, quoique un peu réparée et mieux meublée, était celle où il avait été retenu. Il se rappela aussi un tronc d’arbre, dans la lande de Tully-Veolan, qu’on appelait l’arbre du Rendez-vous ; et il ne doutait pas que ce ne fût celui où s’étaient réunis les montagnards dans cette nuit mémorable. Des motifs que le lecteur comprend sans doute l’avaient empêché d’interroger Jeannette sur ce sujet en présence du baron.

Sa première question fut de demander quelle était la jeune dame qui l’avait visité durant sa maladie. Jeannette garda un instant le silence, et pensant enfin que révéler ce secret ne nuirait à personne : « C’est, dit-elle, une jeune dame qui n’a pas sa pareille au monde, miss Rose Bradwardine ! »

Alors c’est sans doute aussi à miss Rose que je dois ma délivrance, » dit Waverley enchanté de voir confirmer une idée que les circonstances locales avaient déjà fait naître. — Sans doute, monsieur Waverley ; mais combien elle eût été affligée, la pauvre demoiselle, que vous en apprissiez quelque chose ! car elle m’avait ordonné de parler en langue gaëlique quand vous pouviez entendre, afin de vous faire croire que vous étiez parmi les montagnards. Je sais parler cette langue, parce que ma mère était montagnarde.

Quelques autres questions apprirent à Waverley tous les détails de sa délivrance : jamais musique ne parut si harmonieuse à un amateur que le fut aux oreilles de Waverley le bavardage de la vieille Jeannette racontant jusqu’aux circonstances les plus minutieuses. Mais mon lecteur n’est pas amoureux, et pour ne pas lasser sa patience, j’essaierai de resserrer dans des limites raisonnables le récit de la vieille Jeannette, qui dura près de deux heures.

Quand Waverley communiqua à Fergus la lettre que lui avait envoyée miss Bradwardine par Davie Gellatley, et par laquelle Rose lui annonçait qu’un parti de troupes occupait Tully-Veolan, cette circonstance avait frappé l’esprit vif et actif du chef. Désirant enlever à l’ennemi ses positions, ne pas le laisser s’établir si près de lui, et enfin rendre service au baron (car l’idée d’un mariage avec miss Rose se présentait souvent à lui), il résolut d’envoyer quelques-uns de ses gens pour déloger les rouges, et amener Rose à Glennaquoieh. Mais à peine avait-il donné à Evan l’ordre de s’acquitter de cette expédition avec un détachement, que la nouvelle de l’entrée de Cope dans les montagnes pour dissiper les troupes du Chevalier avant qu’elles se fussent réunies en corps d’armée, le contraignit de rejoindre les drapeaux avec toutes ses forces.

Il envoya à Donald Bean l’ordre de venir le trouver ; mais ce rusé maraudeur, qui comprenait quels avantages on pouvait retirer d’un commandement particulier, différa d’obéir sous divers prétextes que Fergus, pressé par le temps, fut obligé d’admettre sans examen, se promettant bien, toutefois, de punir ce retard en temps favorable. Il ordonna à Donald de descendre dans la plaine ; de chasser les rouges de Tully-Veolan, et de prendre position près du château pour protéger Rose et écarter tous les pillards et tous les partis de troupes qui se montreraient aux environs.

Donald se promit de tirer le plus d’avantage possible du pouvoir étendu qui lui était confié. Délivré de tout sujet immédiat de crainte du côté de Fergus, et s’étant d’ailleurs acquis quelque crédit dans les conseils du Chevalier par des services secrets, il résolut de faucher pendant que le soleil brillait. Il parvint sans peine à chasser les soldats de Tully-Veolan, et quoiqu’il n’osât s’attaquer aux gens du château ni à miss Rose, de peur de se faire un ennemi puissant dans l’armée du Chevalier,


Car il savait que du baron sévère
Il fallait craindre la colère,


il se mit à lever des contributions sur les vassaux et à faire une espèce de guerre à son profit. Cependant il arbora la cocarde blanche et eut beaucoup d’égards pour Rose, parlant sans cesse de son zèle pour la cause que soutenait le baron, et s’excusant de ce qu’il était obligé de se permettre pour entretenir ses soldats. C’est alors que Rose apprit par le bruit public, qui exagère tout, que Waverley avait tué le forgeron de Cairnwreckan qui voulait l’arrêter ; qu’il avait été jeté en prison par le major Melville de Cairnwreckan, et devait être exécuté dans trois jours, en vertu de la loi martiale. Accablé par cette nouvelle, elle proposa à Donald Bean de délivrer le prisonnier. Il saisit avec empressement l’occasion de rendre un service de ce genre, qui pourrait faire passer sur quelques peccadilles qu’il aurait commises dans le pays. Il eut cependant l’adresse de résister, en alléguant son devoir et la discipline, jusqu’à ce que la pauvre Rose, désespérée, lui offrît, pour l’y décider, quelques bijoux précieux qui avaient appartenu à sa mère.

Donald Bean, qui avait servi en France, connaissait ou peut-être même s’exagérait la valeur de ces joyaux ; mais il s’aperçut aussi combien Rose craignait qu’on ne vînt à savoir qu’elle avait donné ces bijoux pour la délivrance de Waverley. Pour lui ôter toute crainte, il jura qu’il n’en dirait jamais rien ; et sachant qu’il aurait plus d’avantage à garder ce serment qu’à le rompre, il s’engagea, afin, dit-il à son lieutenant, d’agir loyalement avec la jeune dame, de la seule manière qui lui parût sacrée, d’après une convention avec lui-même : il jura secrètement sur son direk nu. Il fut porté surtout à cet acte de bonne foi par les égards que témoignait miss Bradwardine à sa fille Alice, et qui, en gagnant le cœur de la jeune montagnarde, flattaient en même temps l’orgueil du père. Alice, qui commençait à parler anglais, était très-commnnicative à l’égard de Rose ; elle lui confia tout ce qui concernait l’intrigue avec le régiment de Gardiner, et consentit, sur sa demande, à rendre à Waverley, à l’insu de son père, tous les papiers qui l’intéressaient. « J’obligerai ainsi, se dit-elle, la jeune lady et le beau gentleman ; et quel besoin mon père a-t-il de ces morceaux de papier ? »

Elle exécuta ce projet, comme le lecteur le sait, la veille du jour où Waverley quitta la cabane.

Le lecteur doit aussi se rappeler comment Donald exécuta son entreprise. Mais l’expulsion des soldats de Tully-Veolan avait donné l’alarme, et tandis qu’il attendait Gilfillan, un corps de troupes assez considérable, auquel Donald n’aurait pu résister, fut envoyé pour chasser à leur tour les insurgés, occuper Tully-Veolan, et protéger le pays. Le commandant, gentilhomme et puritain, ne se présenta point chez miss Bradwardine, dont il respecta la situation, et défendit à ses soldats d’enfreindre en rien la discipline. Il établit un petit camp près du château ; et plaça des postes dans les chemins du voisinage. Donald Bean apprit ces malencontreuses nouvelles comme il revenait à Tully-Veolan ; déterminé toutefois à obtenir la récompense de sa peine, il résolut, puisqu’il ne pouvait approcher davantage du château, de déposer son prisonnier dans la cabane de Jeannette, où n’auraient pu arriver sans guide ceux-là même qui habitaient depuis long-temps les environs, et qui n’étaient nullement connue de Waverley : il le fit, et reçut sa récompense. La maladie de Waverley dérangea tous leurs calculs : Donald fut forcé d’abandonner le pays avec ses gens ; et de chercher un champ plus libre pour ses exploits. À la prière instante de Rose, il laissa un vieux montagnard, qui prétendait savoir un peu de médecine, pour soigner Waverley durant sa maladie.

Cependant des inquiétudes tourmentèrent bientôt le cœur de Rose ; la vieille Jeannette lui disait qu’une récompense était promise à celui qui saisirait Waverley, que ses effets d’ailleurs avaient beaucoup de valeur, et que la tentation pouvait entraîner Donald. Dans l’excès de sa douleur, Rose prit la résolution d’exposer au prince lui-même le danger que courait M. Waverley, persuadée que par politique et par humanité Charles-Édouard viendrait à son secours. Elle songea d’abord à envoyer une lettre anonyme, mais elle craignit qu’elle n’inspirât aucune confiance. Elle signa donc, quoique d’une main tremblante, et chargea de la missive un jeune homme qui, en quittant sa ferme pour aller joindre le drapeau du Chevalier, lui demanda une espèce de recommandation auprès du prince, dont il espérait obtenir une commission.

Le prince reçut la lettre dans sa marche vers les basses terres ; et voyant de quelle importance il serait de faire croire qu’il avait des relations avec les jacobites d’Angleterre, il fit passer à Donald les ordres les plus positifs de respecter la personne et les effets de Waverley, et de le conduire chez le gouverneur du château de Doune. Le maraudeur n’osa désobéir, car les troupes du prince étaient si peu éloignées, que le châtiment ne se serait pas fait attendre ; et d’ailleurs la politique lui défendait d’ébranler le crédit que lui avaient acquis ses services secrets, en désobéissant à un ordre formel. Il fit donc de nécessité vertu, et chargea son lieutenant d’escorter Édouard jusqu’à Donne, ce qui s’exécuta sans obstacles, comme on l’a vu dans un chapitre précédent. Le gouverneur de Doune avait ordre de diriger Waverley sur Édimbourg comme prisonnier de guerre : car le prince craignait qu’une fois mis en liberté, il ne retournât en Angleterre ; et en cela il agit d’après le conseil de Fergus, qu’il consulta, comme on se le rappelle, sur ce qu’il devait faire d’Édouard, sans lui dire comment il avait appris le lieu de sa retraite.

Il est vrai que Charles-Édouard considérait cela comme un secret de femme ; car quoique Rose eût conçu sa lettre dans les termes les plus généraux et les plus circonspects, et qu’elle eût assuré n’agir ainsi que par des motifs d’humanité et de zèle pour le service du prince, cependant elle exprimait un si vif désir que cette démarche de sa part ne fût pas connue, que le Chevalier soupçonna le profond intérêt qu’elle prenait à la conservation de Waverley. De cette conjecture, toute bien fondée qu’elle était, il tira de fausses conséquences. Ainsi l’émotion que manifesta Édouard en approchant de Flora et de Rose au bal d’Holy-Rood, le Chevalier l’attribua à la vue de cette dernière, et pensa que l’intention du baron de faire passer sa terre à son cousin, ou quelque autre obstacle de ce genre, contrariait leur inclination mutuelle. On parlait souvent, il est vrai, du mariage de Waverley avec miss Mac-Ivor ; mais le Chevalier savait que le bruit public fait souvent de pareils mariages ; observant attentivement la conduite des deux jeunes dames, il ne douta plus que le jeune Anglais ne sentît rien pour Flora, et ne fût aimé de Rose Bradwardine. Désirant attacher Waverley à son service, et faire en même temps un acte de bienveillance, le prince pressa vivement le baron de transmettre ses biens à sa fille. Bradwardine y consentit, ce qui décida Fergus à demander en même temps la main de Rose et le titre de comte ; ce que le prince lui refusa, comme on a vu. Le Chevalier, toujours occupé de ses affaires multipliées, n’avait point encore eu d’explication avec Waverley, quoiqu’il eût eu souvent l’intention de l’entretenir. Quand Fergus eut fait connaître ses prétentions, le prince sentit la nécessité de rester neutre entre les deux rivaux, désirant seulement qu’ils différassent la décision de cette affaire, qui paraissait renfermer des germes de querelles, jusqu’à la fin de l’expédition. Mais en marchant sur Derby, Fergus, questionné par lui sur son différend avec Waverley, lui ayant dit que celui-ci voulait revenir sur la demande qu’il avait faite de la main de sa sœur, le Chevalier lui dit clairement qu’il avait observé lui-même la manière d’agir de miss Mac-Ivor avec Waverley, et qu’il était convaincu que celui-ci avait des engagements avec miss Bradwardine, et que Fergus se méprenait sur sa conduite. Le lecteur n’a point encore oublié la querelle qui s’en suivit entre Fergus et Édouard. Ces détails serviront à expliquer quelques points de notre récit, que, selon la coutume des romanciers, nous avions laissés à dessein sans explication, pour exciter la curiosité du lecteur.

Quand Jeannette eut terminé son récit, Waverley put, à l’aide du fil que ces détails lui mettaient entre les mains, reconnaître les détours du labyrinthe où il avait été engagé. Il voua alors à miss Rose une vie qu’il eût maintenant voulu lui sacrifier : mais un peu de réflexion le convainquit bientôt qu’il serait plus convenable et plus agréable de vivre pour elle, et que, maître de sa fortune, il pourrait la partager avec elle dans sa patrie ou à l’étranger. Il trouvait aussi un grand charme à s’allier avec un homme aussi estimable que le baron, et si considéré par son oncle sir Éverard. Ses bizarreries, qui avaient quelque chose de grotesque quand il était heureux, semblaient, dans son infortune, s’harmoniser parfaitement avec les nobles traits de son caractère, et lui donner de l’originalité plutôt que du ridicule. Le cœur occupé de ses projets de bonheur futur, Édouard se dirigea vers le petit Veolan, où demeurait M. Duncan Mac Wheeble.


  1. Nous fûmes Troyens. a. m.
  2. Maison derrière un tombeau. a. m.
  3. Gerboises, genre de mammifères de l’ordre des rongeurs. a. m.
  4. Île de l’Archipel célèbre par le séjour qu’y fit Saint-Jean, qui y composa son Apocalypse.a. m.