Discussion Livre:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 9.djvu
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- ↑ LETTRE 1159 ( revue en grande partie sur une ancienne copie). —-1. Pâques, en 1689 tombait au 10 avril. Cet alinéa et le suivant ne sont pas dans notre manuscrit, qui donne le reste de la lettre.
- ↑ 2. Ce membre de phrase : « j’ai toujours, etc., » manque dans le texte de 1737.
- ↑ 3. « …une grande douleur, soit que vous lisez, soit que vous écriviez trop ; elle vous laisse en repos quand vous l'y laissez, etc. (Edition de 1754.) »
- ↑ 4. « On dit au jeu, des paris de traverse, pour dire : des paris qui ne sont pas au courant du jeu qu'on joue. » (Dictionnaire de l'Académie de 1718.)
- ↑ 5. « tous les jours. (Edition de 1754.) -- Ce qui suit :« et à Mme de Vins et trois fois la semaine, » n'est pas dans l'impression de 1737.
- ↑ 6. « Quand je vous vois écrire sur du grand papier.»
- ↑ 7. Voyez au tome VIII, p. 560, la fin de la lettre du 28 mars précédent.
- ↑ 8. « C’est qu’en vérité il me tient au cœur. »
- ↑ 9. Cet alinéa et les deux suivants ne se lisent pas dans les éditions de Perrin. Ils ont été publiés pour la première fois en 1827, d’après notre ancienne copie, sur laquelle nous les avons collationnés de nouveau.
- ↑ 10. Notre copie donne « et on ». C’est un vers de la fable du Renard ayant la queue coupée (livre V, fable v). Le texte de la Fontaine est : « Mais tournez-vous, de grâce… »
- ↑ 11. Voyez tome VII, p. 48, note 5.
- ↑ 12. Denis Talon, fils d’Orner Talon, était avocat général au parlement, comme l’avait été son père.
- ↑ 13. Guillaume de Nesmond, seigneur de Saint-Dizan, était président au parlement depuis 1664.
- ↑ 14. Il y avait au parlement de Paris, à la quatrième chambre des enquêtes, un frère de l’érudit Émeric Bigot, qui s’appelait Robert Bigot, seigneur de Monville.
- ↑ 15. Monsieur le chevalier. » (Édition de 1754.) L’édition de 1737 n’a pas le commencement de cet alinéa, et reprend seulement à : « Je vous prie que M. de Grignan…»
- ↑ 16. C’était sans doute ce que Mme de Sévigné devait encore sur les cinquante mille francs empruntés à d’Harouys. Voyez la Notice, p. 259.
- ↑ 17. «Je vous prie, ma fille, que M. de Grignan réponde de sa propre main à votre belle-sœur ; elle m’écrit mille douceurs et mille agaceries pour lui; c’est un penchant qu’elle combat inutilement. (Édition de 1737. -- « Je serai ravie que M. de Grignan réponde de sa propre main à votre belle-sœur ; elle m’écrit mille douceurs et mille agaceries pour lui c’est, dit-elle, un penchant qu’elle combat inutilement.» (Édition de 1754.)
- ↑ 18. Cette phrase n’est pas dans les éditions de Perrin, qui toutes deux commencent ainsi la suivante « Votre enfant n’est point du tout, etc. » Ce Laurens ou du Laurens est encore nommé dans les lettres du 8 et du 15 juin suivants, p. 74 et p. 84 ; on ne voit pas bien clairement à quel titre il était attaché au jeune marquis.
- ↑ 19. Il avait essayé de surprendre le château d’Oberkirch, au delà d’Offenbourg, mais il fut repoussé. Voyez le Journal de Dangeau, au 2 avril 1689.
- ↑ 20. Louis Potier de Gèvres, marquis de Gandelus, né en 1660, colonel du régiment des vaisseaux, brigadier d’infanterie, lieutenant de Roi de Pontaudemer, troisième fils du duc de Gêvres. Il mourut quelques jours après des suites de cette blessure.
- ↑ 21. Voyez tome VII, p. 184, note 1.
- ↑ 22. «Trois ou quatre cents hommes. » (Éditions de 1737 et de 1754.) La phrase qui suit ne se lit pas ailleurs que dans notre manuscrit.
- ↑ 23. Sœur du cardinal. Voyez tome V, p. 85, note 15, et la note 7 de la lettre du 15 juin suivant, p. 81.
- ↑ 24. Diminue tous les jours (Editions de 1737 et 1754)
- ↑ Un plaisant a mis sur la porte de Witehal Grande maison, etc. » (Ibidem.) Voyez tome VIII, p. 379, note 34.
- ↑ 26. « II a assuré les protestants de toute sorte de liberté et de protection. » (Éditions de 1737 et de 1754.) « On a su, dit la Gazette du 2 avril, que le roi de la Grande-Bretagne étoit arrivé à Kingsale en Irlande (voyez tome VIII, p. 543, note 11, et p. 564, note 16), qu’il avoit passé à Corck, et qu’il avoit été reçu partout avec de grandes acclamations, même par les protestants. Il fit son entrée à Dublin le 3 avril.
- ↑ 27. « Qui est vice-roi. » (Éditions de 1787 et de 1754.) Richard Talbot, d’une famille irlandaise, mais anglaise d’origine, créé comte, puis en 1689 duc de Tyrconnel par Jacques II ; il venait d’être fait vice-roi d’Irlande. Après la mort de. Boynton, sa première femme, il avait épousé la belle Jennings des Mémoires de Gramont, veuve en 1667 de George Hamilton,l’un des frères de l’auteur des Mémoires. TI mourut en 1691, et sa femme, fort âgée, en 1731. Voyez sur lui, entre autres endroits, le chapitre X des mémoires de Gramont, vers le milieu, et sur la belle Jennings le commencement du chapitre XI.
- ↑ 28. TI faut voir ce que deviendront toutes ces affaires : il me semble que c’est un gros nuage noir, épais, chargé de grêle, qui commence à s’éclaircir. » (Éditions de 1737 et de 1754.)
- ↑ 29. Dans l’édition de 1737, par faute d’impression sans doute « qui s’épaississoient sans orage. » La lettre finit au mot orage dans notre manuscrit
- ↑ 30. Au lieu de cette dernière phrase, l’édition de 1737 a seulement ces mots « Adieu, ma chère fille; je suis tout entière à vous. »
- ↑ LETTRE 1160. 1. « Jouez-vous à ne plus oser baisser la tête sans douleur, forcez-vous à écrire et à lire, et vous trouverez bientôt que vous ne serez plus bonne à rien, vous deviendrez une femme de verre. Comme ce mal ne vient que de l’excès de vos écritures, je vous conjure de les retrancher, si vous nous aimez; mettez-vous sur votre lit de repos, quand vous aurez envie de causer, et faites écrire Pauline, » (Édition de 1754.)
- ↑ 2. Cette phrase et les suivantes manquent dans l’édition de 1737, qui reprend à : « Je reviens à notre victoire.
- ↑ 3. Disons encore un mot de notre victoire du grand conseil ; elle nous a donnné, etc ; (Edition de 1754.)
- ↑ 4. Parce que nous sommes tous séparés. »(Ibidem.)
- ↑ 5. M. le chevalier de Grignan. (Note de Perrin.).
- ↑ 6. Tout cet alinéa et le commencement de l’alinéa suivant, jusqu’à : « Il est vrai, ma fille, manquent dans l’édition de 1737.
- ↑ 7. D’après la Correspondance administrative de Louis XIV, tome I, p. 446 et 468, c’était le procureur général qui était syndic de la province.
- ↑ 8. Voyez tome VIII, p. 365, note 14, et le commencement de la lettre du 9 mars précédent, même tome, p. 513 et note 4.
- ↑ 9. Voyez tome VIII, p. 296, note 6.
- ↑ 10. On lit dans le Journal de Dangeau, au Ier avril 1689 : « Les nouvelles d’Angleterre continuent à être bonnes. Les Écossois ont fait brûler, par la main du bourreau, une ordonnance que le prince d’Orange leur avoit envoyée comme roi, et se sont assemblés sur l’ordre qu’ils avoient du roi Jacques, leur maître, de tenir leur parlement le 25 du même mois. »
- ↑ 11. il est vrai que votre fils est trop aimable (Edition de 1754)
- ↑ 12. Je ne veux point écrire .(Ibidem.)
- ↑ 13. Ces deux mots : il pleut, manquent dans le texte de 1737.