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ÉDUCATION DE PAULINE DE GRIGNAN.

de concilier une réglementation et des statuts uniformes avec les législations diverses sur les associations dans les différents États, — ainsi la loi de la Bavière interdit aux associations de ce pays de s’affilier in corpore à une association étrangère ; — que les étrangers et notamment les Autrichiens et les Hongrois de langue allemande ne pourraient plus prendre part au même titre aux séances du Congrès, lequel cesserait alors d’être une assemblée ouverte à tous.

Dans la réunion de Gotha en 1875, on essaya la conciliation, et on décida que la commission permanente du Congrès et le comité central de l’Association des instituteurs allemands convoqueraient, de concert, en 4876, à Erfurt, une assemblée générale des représentants des diverses conférences des instituteurs allemands, à raison d’autant de délégués que les conférences comptent de fois cent membres, lesquels délégués auront seuls droit de vote.

(A suivre.)

G. Jost,
Inspecteur de l’enseignement primaire à Paris.

ÉDUCATION DE PAULINE DE GRIGNAN. (Suite.)


« Je la trouve bien avancée, dit la lettre du 29 octobre 1688, d’avoir lu les Métamorphoses ; on ne revient point de là à la Guide des pécheurs ; donnez, donnez-lui hardiment les Essais de morale. On voit à ses réponses qu’elle a beaucoup d’esprit et de vivacité. Joignez cela avec beaucoup