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Page:Docquois - Le Poème sans nom, 1919.djvu/279

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CLXIV. — 
Nous parlions de romans ; et tu me dis : « Je n’ai 
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CLXV. — 
Naguère encore, il n’était bruit, dans notre ville 
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CLXVI. — 
Ta mère, qui s’en fut si prématurément 
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CLXVII. — 
Ne dis pas non, tu fais souvent la tragédienne 
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CLXVIII. — 
Épuisons, si tu veux, ce thème des romans 
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CLXIX. — 
Notre roman, oui, je l’écris. C’est un devoir. 
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CLXX. — 
Mais non, que nous soyons des champs ou bien des villes 
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CLXXI. — 
Ta parure, ce sont tes cheveux ténébreux ! 
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CLXXII. — 
Je voudrais que mes mots fussent tels des essaims 
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CLXXIII. — 
Je ne saurais souffrir, pour ma part, ces femelles 
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CLXXIV. — 
En ce temps-là (rassure-toi, non, pas de dates !) 
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CLXXV. — 
Je t’ignorais, en ce temps-là. Je le déplore. 
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CLXXVI. — 
Et quant aux cuirassiers, pour eux que de louanges ! 
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CLXXVII. — 
Mais jamais je n’ai vu vibrer mieux ta narine 
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CLXXVIII. — 
Le soir, quand ses travaux au jardin sont finis 
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CLXXIX. — 
Je t’en offrais souvent de ces rouges œillets 
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CLXXX. — 
Denis autour de moi s’active, plein de zèle 
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CLXXXI. — 
Suis-je repossédé ? De nouveau je me ronge 
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CLXXXII. — 
Hier, notre Denis avait un air de drame 
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