La Cité de Dieu (Augustin)/Livre IX
Chapitre premier. Du point où en est la discussion et de ce qui reste à examiner.
179
— II. Si parmi les démons, tous reconnus pour inférieurs aux dieux, il en est de bons dont l’assistance puisse conduire les hommes à la béatitude véritable.
179
— III. Des attributions des démons, suivant Apulée, qui, sans leur refuser la raison, ne leur accorde cependant aucune vertu.
180
— IV. Sentiments des Péripatéticiens et des Stoïciens touchant les passions.
180
— V. Les passions qui assiégent les âmes chrétiennes, loin de les porter au vice, les exercent à la vertu.
182
— VI. Des passions qui agitent les démons, de l’aveu d’Apulée qui leur attribue le privilége d’assister les hommes auprès des dieux.
182
— VII. Les Platoniciens croient les dieux outragés par les fictions des poëtes, qui les représentent combattus par des affections contraires, ce qui n’appartient qu’aux démons.
183
— VIII. Comment Apulée définit les dieux, habitants du ciel, les démons, habitants de l’air, et les hommes, habitants de la terre.
183
— IX. Si l’intercession des démons peut concilier aux hommes la bienveillance des dieux.
184
— X. Les hommes, d’après les principes de Plotin, sont moins malheureux dans un corps mortel que les démons dans un corps éternel.
185
— XI. Du sentiment des Platoniciens, que les âmes des hommes deviennent des démons après la mort.
185
— XII. Des trois qualités contraires qui, suivant les Platoniciens, distinguent la nature des démons de celle des hommes.
185
— XIII. Si les démons peuvent être médiateurs entre les dieux et les hommes, sans avoir avec eux aucun point commun, n’étant pas heureux, comme les dieux, ni misérables, comme les hommes.
186
— XIV. Si les hommes, en tant que mortels, peuvent être heureux.
187
— XV. De Jésus-Christ homme, médiateur entre Dieu et les hommes.
187
— XVI. S’il est raisonnable aux Platoniciens de concevoir les dieux comme éloignés de tout commerce avec la terre et de toute communication avec les hommes, de façon à rendre nécessaire l’intercession des démons.
188
— XVII. Pour acquérir la vie bienheureuse, qui consiste à participer au souverain bien, l’homme n’a pas besoin de médiateurs tels que les démons, mais du seul vrai médiateur, qui est le Christ.
190
— XVIII. De la fourberie des démons, qui en nous promettant de nous conduire à Dieu ne cherchent qu’à nous détourner de la voie de la vérité.
190
— XIX. Le nom des démons ne se prend jamais en bonne part, même chez leurs adorateurs.
191
— XX. De la science qui rend les démons superbes.
191
— XXI. Jusqu’à quel point le Seigneur a voulu se découvrir aux démons.
191
— XXII. En quoi la science des anges diffère de celle des démons,
192
— XXIII. Le nom des dieux est faussement attribué aux dieux des Gentils, et il convient en commun aux saints anges et aux hommes justes, selon le témoignage de l’Ecriture.
192