Épigrammes (Verlaine)

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Paul Verlaine

Épigrammes (Verlaine)

volume III
Œuvres complètes - Tome III, Vanier, 1901.

ÉPIGRAMMES

I. 

Remis de ses émotions 

 217

II. 

Ce livre est sûr de mal plaire 

 226

III. 

Lourd comme un crapaud, léger comme un oiseau 

 231

IV. 

J’ai fais un vers de dix-sept pieds ! 

 232

V. 

Mon âge mûr qui me grommelle 

 233

VI. 

Après les chants d’église et les airs militaires 

 235

VII. 

Il ne me faut plus qu’un air de flûte 

 237

VIII. 

Ton illogisme vainqueur 

 239

IX. 

Être tout de beauté, tout de bonté 

 240

X. 

C’est le conflit, c’est le contact 

 242

XI. 

La ville que Vauban orna d’un beau rempart 

 244

XII. 

On finit par s’habituer 

 245

XIII. 

Quand nous irons, si je dois encore la voir 

 249

XIV. 

J’ai beau faire la paix partout 

 250

XV. 

Quand tu me lis une histoire 

 251

XVI. 

Les Salons, où je ne vais plus 

 253

XVII. 

Grâce à toi je me vois le dos 

 261

XVIII. 

Car, après tout, l’amour n’y pensons plus 

 262

XIX. 

C’est la bonté naïve et rude un peu 

 264

XX. 

J’ai fait jadis le coup de poing 

 265

XXI. 

L’incompréhensibilité 

 267

XXII. 

Schopenhauer m’embête un peu 

 268

XXIII. 

Tête de pipe 

 269

XXIV. 

Au bas d’un croquis 

 270

XXV. 

Sur un portrait de Lamartine interprété par F.-A. Cazals 

 271

XXVI. 

Sur un exemplaire des « Odes funambulesques » 

 272

XXVII. 

À propos d’un des plus beaux vers de Catulle Mendès 

 273

XXVIII. 

Sur un exemplaire des « Fleurs du mal » 

 274

XXIX. 

Après tout, si tu fus heureux 

 275

XXX. 

Ces quelques vers, libelle imbelle 

 279