Correspondance de Voltaire/1772/Lettre 8594
Apparence
8594. — À M. LE CARDINAL DE BERNIS.
8 auguste.
Le vieux malade de Ferney éprouve sans doute une grande consolation quand il reçoit certaines lettres de Rome ; mais il ne l’exige pas. Il respecte barrette et paresse. Il prend seulement la liberté d’envoyer ce rogaton pour aider un peu à la méridienne après dîner. Il présente son tendre respect.