Correspondance de Voltaire/1772/Lettre 8603

Correspondance de Voltaire/1772

Correspondance : année 1772, Garnier, Œuvres complètes de Voltaire, tome 48 (p. 151-152).

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8603. — À M. ***^[1].

15 auguste.

Mon cher ami, je plains la première M^me de Bombelles, et je plains aussi la seconde. Je plains aussi ceux que M. l’abbé Terray ruiné, et je suis du nombre.

Je vous embrasse de tout mon cœur. V^[2].

↑ Éditeur, A. Coquerel.
↑ Nous avons copié, il y a quelques années, au British Muséum ce billet, que nous croyons inédit. Nous ne savons à qui il fut adressé. Voici un autre billet de Voltaire adressé à M^me Duvoisin (Nanette Calas) et où il rend hommage à Marthe Camp :
« Le vieux malade de Ferney fait mille compliments à M^me Duvoisin, à madame sa mère et à toute sa famille. Il est fâché de laisser en montrant tant d’infortunés dans le monde, et surtout une dame aussi intéressante et aussi vertueuse que M^me Bombelles.
« Son très-humble et très-obéissant serviteur. V. » (A. C.)

— Voyez ci-après une note sur la lettre 8608.

[1] Éditeur, A. Coquerel.

[p161-2] Nous avons copié, il y a quelques années, au British Muséum ce billet, que nous croyons inédit. Nous ne savons à qui il fut adressé. Voici un autre billet de Voltaire adressé à M^me Duvoisin (Nanette Calas) et où il rend hommage à Marthe Camp :
« Le vieux malade de Ferney fait mille compliments à M^me Duvoisin, à madame sa mère et à toute sa famille. Il est fâché de laisser en montrant tant d’infortunés dans le monde, et surtout une dame aussi intéressante et aussi vertueuse que M^me Bombelles.
« Son très-humble et très-obéissant serviteur. V. » (A. C.)

— Voyez ci-après une note sur la lettre 8608.

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