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Discussion:Jacques le Fataliste et son maître

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Dernier commentaire : il y a 17 ans par Marc dans le sujet Validation
Informations sur l’édition de Jacques le Fataliste et son maître

Édition : Denis Diderot, Œuvres complètes, tome VI, Belles-Lettres III, romans, contes, critique littéraire, Garnier Frères, 1875.


Source : Ouvrage issu de ABU


Contributeur(s) : Pyb


Niveau d’avancement : Texte validé


Remarques : Supprimer les guillemets au début des lignes dans les dialogues rapportés (incompatible avec le numérique).


Relu et corrigé par : Pyb, Acélan


Suivi d'édition

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100%
Sourçage
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Affichage par pages
100%
Texte
0%
Macros de mise en forme
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Mise en forme
100%
Confrontation édition de référence sur papier
100%
Vérification orthographe
100%
Validation pour protection

Relecture

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Remarque 1

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Faut-il respecter le texte ou le corriger (sachant que la version texte ne correspond en fait pas exactement à celle qui est en mode image)

J'aurais plutôt mis « disiez », présent du subjonctif, puisque « je voudrais » est lui-même un conditionnel présent (je voudrais maintenant que vous me disiez maintenant…) ; mais je réagis peut-être en locuteur du 21e siècle. --Zephyrus 15 mai 2007 à 09:52 (UTC)Répondre
J'ai une édition de poche qui donne disiez. As-tu remarqué beaucoup d'autres différences entre le texte et l'image ? Marc 15 mai 2007 à 10:01 (UTC)Répondre
je préfère que l'on respecte l'édition scannée... je n'ai rien contre le fait d'utiliser une version modernisée, mais alors il faut scanner cette version modernisée. il n'est pas cohérent de placer côte à côte un scan et un texte qui ne se correspondent pas. ThomasV 15 mai 2007 à 10:10 (UTC)Répondre
y'a p.40 un mot qui change [1]. Selon la version qui est sur Google Books, la version en mode image doit être la version originale ([2] p.62). Je vais lister toutes les différences que je remarque. Pyb 15 mai 2007 à 10:33 (UTC)Répondre
Il y a une note qui indique la variante vers la fenêtre (variante retenue dans l'édition Naigeon). Marc 15 mai 2007 à 10:37 (UTC)Répondre

Il y a deux grandes éditions sur Gallica ; celle qui est utilisée ici est celle de 1875 ; l'autre est de 1800 et donne également dissiez (voir Naigeon, tome XI). Il ne s'agit pas d'une erreur. Je suis donc de l'avis de suivre scrupuleusement les images de l'édition 1875, et de comparer à l'édition 1800 quand nécessaire. Marc 15 mai 2007 à 10:28 (UTC)Répondre

C'est peut-être une question de béotien (je ne suis pas souvent sur Wsource), mais cela veut-il dire qu'il y aurait (en note ?) les différences de la version de 1800 ? De manière plus générale y a t'il des normes pour l'édition critique d'un texte ? --Acer11 15 mai 2007 à 10:55 (UTC)Répondre
Je ne crois pas qu'il y ait encore sur Wikisource de normes pour cela. Mais je pense que c'est possible de faire une édition critique de Jacques le fataliste, si nécessaire en tout cas, dès lors que nous avons les images : tout reste en effet vérifiable et non arbitraire. Marc 15 mai 2007 à 11:02 (UTC)Répondre

Remarque 2

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Texte en trop : P.62-63 Pyb 15 mai 2007 à 15:40 (UTC)Répondre

JACQUES : Mon cher maître, la vie se passe en quiproquos. Il y a les quiproquos d’amour,
les quiproquos d’amitié, les quiproquos de politique, de finance, d’église, de magistrature,
de commerce, de femmes, de maris... 
LE MAÎTRE : Eh ! laisse là ces quiproquos, et tâche de t’apercevoir que c’est en faire un 
grossier que de t’embarquer dans un chapitre de morale, lorsqu’il s’agit d’un fait historique. 
L’histoire de ton capitaine ?"
Correction : texte viré. Pyb 15 mai 2007 à 15:58 (UTC)Répondre
j'ai retrouvé sa place (P.60) Pyb 23 mai 2007 à 22:17 (UTC)Répondre

Remarque 3

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La version texte de ABU comporte une phrase mal placée

"On apprit dans la suite que, n'espérant plus se revoir, ils avaient résolu de se battre
à toute outrance, et que, sensible aux devoirs de la plus tendre amitié, au moment même de
la férocité la plus inouïe, mon capitaine qui était riche, comme je vous l'ai dit... J'espère,
monsieur, que vous ne me condamnerez pas à finir notre voyage sur ce bizarre animal... Mon 
capitaine, qui était riche, avait exigé de son camarade qu'il acceptât une lettre de change de vingt
-quatre mille livres qui lui assurât de quoi vivre chez l'étranger, au cas qu'il fût tué, celui-ci 
protestant qu'il ne se battrait point sans ce préalable; l'autre répondant à cette offre: "Est-ce que
tu crois, mon ami, que si je te tue, je te survivrai?..."
Correction : j'ai remis à sa place la phrase. Pyb 15 mai 2007 à 15:58 (UTC)Répondre

Remarque 4

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au collet dans la version texte, sur le collet dans la version image [3]. Pyb 15 mai 2007 à 16:33 (UTC)Répondre

Remarque 5

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Manque la fin de la phrase dans la version texte : Dépêchez-vous, tout le monde vous attend au château, où je vous réponds que vous serez mieux qu'ici, si la suite répond à la curiosité qu'on a de vous voir Page:Diderot - Jacques le Fataliste - 100.jpg. Pyb 15 mai 2007 à 16:46 (UTC)Répondre

Remarque 6

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d’Aisnon fille -> fille d’Aisnon (P.135) Pyb 17 juillet 2007 à 15:07 (UTC)Répondre

Validation

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Pour la validation, il faut le nom d'au moins un autre contributeur dans la boîte infoédit. Marc 27 juillet 2007 à 20:02 (UTC)Répondre