Discussion:Jocelyn

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Informations sur l’édition de Jocelyn

Édition : Œuvres complètes, tome 4. Jocelyn — Épisode — Journal d'un curé de village. Paris, Chez l’auteur, 1860.


Source : Gallica


Contributeur(s) : Patriciafr, Kaviraf, Ernest-Mtl, PaddyCrough, Fabrice Dury, Enmerkar, Montchenu, Le ciel est par dessus le toit, VIGNERON, Chrisric, Phe, DaraDaraDara, ManuD, Hsarrazin, Abecido, Iste ridiculum vitam est, Tomthepsg, Natireland, Acélan, Sapcal22, Richardbl, Levana Taylor, Aristoi, Pantxoa, SandyBT, Annagallis, Pierre Gandil, AstroNecta, Mael8, Pvander, Xixis, Bartek, Olivier PLB ont œuvré à la codification du titre, à l'établissement de la Table des Matières, à la création et à la validation des chapitres, à l'élaboration de notices, à la mise en place des catégories, infoédit, choix éditoriaux… Et merci aux futurs contributeurs qui amenderont l’ouvrage.


Niveau d’avancement : Texte validé


Remarques :


Relu et corrigé par : Patriciafr, Kaviraf, Ernest-Mtl, PaddyCrough.


particularités/points orthographiques[modifier]

  • séve, siége, piége, cortége, sacrilége, collége, complétement
  • abrége, protége
  • poëme, poëte
  • remercîment, aboîments, dévoûment, dénoûments
  • coïntéressé
  • rhododendrum
  • grand’peine
  • des montagnards désheurés
  • Ni quels mille pensers dans ma tête roulèrent :
  • Le rocher vif et nud enclôt de toutes parts
  • de la consonnance de nos esprits
  • Lui venait à mi-jambe et laissait voir ses piés
  • essaims nageants de mouches
  • Chaque parcelle encor s’y poudroie en parcelle.
  • Et les bois morts tombés bruïssaient sur la terre
  • Que le sien m'oublîrait,… Je m'oublîrais,… Un invisible ami qui prîra Dieu pour vous ! broîra, tûrais
  • Ce serait remourir, Seigneur, et non renaître !
  • Dont chaque mendiant vient dîmer une tranche.
  • la bonne calèche qui m’avait voituré
  • Page:Lamartine - Œuvres complètes de Lamartine, tome 4.djvu/512 césure !!!???
  • Comparés à ceux-là, les fredons italiens sont sans âme ;

Corrections :[modifier]

Correction , paragraphe 1, ligne 3 (fin) : « et que je voi » → « et que je voi » (coquille : orthographe maintenue (comme dans l’édition de 1850) — … que je voi / … devant moi,)
Référence : Jocelyn. In Œuvres de M. A. de Lamartine, Tome Premier. Paris, chez l’auteur et chez mm. jules renouard et cie, m dccc l. (1850), p. 200.--PaddyCrough (d) 14 février 2017 à 03:18 (UTC)[répondre]

Corrections :[modifier]

Correction , paragraphe 2, ligne 9 (fin) : « Je me souvien » → « Je me souvien » (coquille : orthographe maintenue (comme dans l’édition de 1850) — … Je me souvien / … un chien,)
Référence : Jocelyn. In Œuvres de M. A. de Lamartine, Tome Premier. Paris, chez l’auteur et chez mm. jules renouard et cie, m dccc l. (1850), p. 213.--PaddyCrough (d) 14 février 2017 à 03:53 (UTC)[répondre]