Discussion:Le Roman de Violette

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
La bibliothèque libre.
Informations sur l’édition de Le Roman de Violette

Édition : Le Roman de Violette : œuvre posthume d'une célébrité masquée, attribué à la marquise Henriette de Mannoury d’Ectot


Source : Harvard College Library, Österreichische Nationalbibliothek.


Contributeur(s) : --Cunegonde1 (d) 24 avril 2020 à 14:10 (UTC)[répondre]


Niveau d’avancement : Relu et corrigé


Remarques :


Relu et corrigé par : --Cunegonde1 (d) 24 avril 2020 à 14:10 (UTC)[répondre]


Informations sur cette édition[modifier]

  1. Voir la note dans la Bibliographie des ouvrages relatifs à l’amour... par le C. d’I*** (J. Gay), Bécour, 1897, : Aucune mention de l’ouvrage.
  2. Voir la note dans L’Enfer de la Bibliothèque nationale à la cote : « 161. — Le Roman de Violette, œuvre posthume d’une Célébrité masquée. (Fleuron, représentant un satyre trayant une chèvre). — Lisbonne, chez Antonio da-Boa-Vista, 1870.
    1 volume in-18 (Bruxelles, Brancart), titre rouge et noir. Couverture grise imprimée avec encadrement typographique. Ce petit roman saphique a été attribué à Alexandre Dumas père, et aussi à Théophile Gautier, sans qu’aucune de ces attributions paraisse sérieuse. On affirme encore que ce roman serait du même auteur auquel on attribue aussi Les cousines de la Colonelle (voir 52) ; c’est-à-dire une dame que les uns appellent la comtesse de Mauriac de Boissiron, et les autres Mme, Querouen de Boussiron. »
  3. Voir la notice dans A checklist of a dditions to the enfer of the Bibliothèque Nationale de France de Patrick Kearney sur le site scissors and paste, qui répertorie les cotes Enfer comprises entre Enfer-1731 et Enfer-2622 :« [2619] marquise H. de Mannoury d'Ectot. – Le Roman de Violette. œuvre posthume d'une célébrité masque. Lisbonne [Bruxelles:] chez Antonio da Boa Vista [Auguste Brancart], 1870 [1883]. 8vo. pp. 200. Longtemps attribué à Alexandre Dumas père, puis à Théophile Gautier, ce roman serait l'oeuvre de l'auteur des Cousines de la Colonelle, la marquise de Mannoury d'Ectot. - Véritable édition originale publiée à Bruxelles par Auguste Blancart en 1883, comportant sur la couverture et la page de titre le fleuron représentant un satyre trayant une chèvre. »
  4. Voir Dictionnaire des œuvres érotiques, Mercure de France, 1971, p. 441 : « ROMAN DE VIOLETTE (Le) Œuvre posthume d’une célébrité masquée. Attribué à Théophile Gautier, à Alexandre Dumas père, ou encore à l’auteur des *Cousines de la colonelle. En fait, le Roman de Violette et les Cousines de la colonelle sont des récits de Mme de Mannoury. L’édition originale, datée « Lisbonne 1870 » fut, dans la réalité, imprimée en 1883 à Bruxelles. — Le narrateur recueille une toute jeune fille, Violette. Elle est vierge, se dit innocente. Cependant, déjà la comtesse Odette de Mainfroy a voulu la séduire. Le narrateur éduque Violette, puis favorise la rencontre des dames. Il y prend part, sans user sur la comtesse de ses avantages naturels les plus évidents. Puis Violette veut devenir comédienne. Elle rencontre une dame de théâtre. Ébats et propos des trois dames susdites. Compléments d’initiations. Citadelles, pêches, bananes. Violette meurt. Le narrateur l’avait regrettée fort, dans son avant-propos. Martial Beauvais. »
  5. Voir la note dans les Livres de l’Enfer, par Pascal Pia, éd. 1998, Fayard, p. 670-671, col. 1282-1283 : « Le Roman / de / Violette / œuvre posthume / d’une / célébrité masquée / [fleuron] / Lisbonne | chez Antonio da Boa-Vista | 1870.
    1 vol. in-8 tellière (10,7 x 17,5) de 2 ff.n.ch. (faux-titre-et titre), 158 pages et 1 f. blanc, sur papier vergé. Titre imprimé en noir et rouge. Couverture papier gris, avec encadrement typographique.
    Édition originale de ce roman d’inspiration saphique qui passe pour être du même auteur que Les Cousines de la Colonelle (v. ce titre), c’est-à-dire de la marquise de Mannoury. Les deux ouvrages portent les mêmes indications fantaisistes de provenance. Ils ont certainement eu le même éditeur bruxellois: Gay, Kistemaeckers, ou un autre. Dans leur catalogue de l’Enfer, Apollinaire, Fleuret et Perceau attribuaient à Brancart l’édition du Roman de Violette, mais sans dire sur quoi se fondait leur assertion. Leur notice n’est pas exempte d'erreur, puisqu'elle prétend que le fleuron du titre représente un satyre trayant une chèvre, alors qu’il montre un faune sans partenaire d’aucune sorte. Il est certain en tout cas, que l’édition de cet ouvrage a été antidatée d’au moins dix ans. Dans sa Bibliographie du roman érotique, Perceau la date de 1883.
    B.N. Enfer, 161. Cart. papier marbré rouge.
    B.N. Enfer, 1070. Bradel toile orange, pièce de titre brune.