Discussion utilisateur:Cunegonde1

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Taine - Origines de la France contemporaine, séparateurs des milliers

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Cantons-de-l'Est (discussioncontributions)

Bonjour Cunegonde1,

Je tique en lisant dans le wikicode : « 8{{sp|0.2em|3}}000 », parce que {{formatnum:83000}} et {{unité|83000}} donnent le même rendu et que la relecture est plus facile avec les deux derniers.

Comparez les rendus des trois :

  • 83000
  • 83 000
  • 83 000

Une raison de préférer {{sp|0.2em|3}} ?

Cunegonde1 (discussioncontributions)

Bonjour @Cantons-de-l'Est j'ai travaillé sur les Origines de la France contemporaine de novembre 2017 à août 2018. À cette époque, je ne connaissais pas les modèles formatnum et unité, je me suis donc débrouillé comme ça en réinventant (assez mal) l'eau tiède. Donc pas de problème pour modifier ce code et peut-être même qu'un petit coup d'AWB permettrait de tout changer d'un coup. En tout cas merci pour cette remarque.

Répondre à « Taine - Origines de la France contemporaine, séparateurs des milliers »
Acélan (discussioncontributions)

Bonjour,

Dans ce livre, je vois que tu utilise le paramètre ff=cursive ; chez moi, quel que soit le navigateur que j'utilise (Firefox, Opéra, Chrome), ça affiche du Comic sans MS, et c'est très moche. Au travail, c'est pareil. Je suppose que chez toi, l'affichage est plus satisfaisant, mais il faut bien savoir que de nombreux utilisateurs verront sans doute la même chose que moi...

Cunegonde1 (discussioncontributions)

Bonjour @Acélan et merci pour ce retour. Parles-tu des titres du Le Manuel de civilité pour les petites filles à l’usage des maisons d’éducation ? Effectivement, il y a quelques années, cela ne fonctionnait pas non plus pour moi sous linux, mais maintenant sous linux et macOs c'est correct, mais sous windows firefox ou edge, l'affichage est en comic sans MS. De plus l'export pdf est en sans serif standard. As-tu une idée pour remplacer cursive par quelque chose d'un peu équivalent et qui s'affiche correctement quelque soit l'outil de lecture ?

Acélan (discussioncontributions)

Oui, je parle de ces titres (entre parenthèses, j'ai lu ça il y a longtemps, et je me marre toujours autant). Je n'ai pas d'idée, non : la seule variante de police qui fonctionne chez moi, c'est serif. Peut-être en mettant "serif" et italiques, le résultat ne serait pas trop mal. Ou alors on peut espérer que ça s'affiche correctement un jour, et laisser cet affreux Comic sans MS en attendant. Je te laisse décider.

Cunegonde1 (discussioncontributions)

@Acélan Je pense que tu as raison pour serif italique. Tu t'en charges ou bien préfères-tu que je le fasse ?

Acélan (discussioncontributions)

Je m'en charge, pas de souci, puisque je suis en train de le valider.

Cunegonde1 (discussioncontributions)

@Acélan Ok, je te remercie. Dans le même esprit mais en moins drôle (encore qu'il y a des traits humoristiques de-ci de-là), je viens d'importer Trois filles de leur mère et je copie/colle les pages que j'ai corrigées hors-ligne (M&S étant HS). Il sera ce soir à valider.

Acélan (discussioncontributions)

C'est noté !

Répondre à « Police cursive »
Havang(nl) (discussioncontributions)
Cunegonde1 (discussioncontributions)

Bonjour @Havang(nl) c'est un problème général mentionné à deux reprises sur le scriptorium de ce mois. Tu peux essayer de purger le fichier sur commons en ajoutant ?action=purge à la fin de l'url dans la barre d'adresse. Faire de même dans sur Wikisource. En général il faut attendre quelquefois un jour pour que cela devienne normal. Il est totalement inutile de téléverser à nouveau le fichier. Pour l'impossibilité de créer le livre, c'est la présence du point après enz qui fait partie des caractères interdits. Je l'ai retiré dans ton lien ci-dessus et cela fonctionne.

Havang(nl) (discussioncontributions)

C'st résolu... je peux créer l'index sur s:nl.

Répondre à « Problème avec PDF »
VIGNERON (discussioncontributions)
Cunegonde1 (discussioncontributions)

Bonjour @VIGNERON cela ne pose pas de problème, mais s'agit-il bien de la photo pleine page de Lacan ?

VIGNERON (discussioncontributions)

Super merci beaucoup !

Et oui, c'est bien la photo de Lacan (j'aurai du le repréciser explicitement, désolé).

Merci d'avance.

Cunegonde1 (discussioncontributions)

@VIGNERON C'est fait, j'ai caviardé la page.

Répondre à « Nettoyage d'un DjVu »
Le ciel est par dessus le toit (discussioncontributions)
Cunegonde1 (discussioncontributions)

@Le ciel est par dessus le toit Effectivement, c'est un oubli, à force de courir après cent lièvres à la fois, on finit par en oublier quelques uns (c'est malheureusement une mauvaise habitude que je traîne depuis fort longtemps).

Le ciel est par dessus le toit (discussioncontributions)

pas grave, on à chacun ses mauvaise habitude. Merci

Répondre à « un oubli ? »
Le ciel est par dessus le toit (discussioncontributions)

Bon ben il ya de grandes différences avec notre texte à certains endroit et il faut que j’arrive au journal du 8 octobre pour le voir alors que j’avais pris le soin de vérifier, mais pas assez sans doute. Peux-tu jeter un oeil si tu as le temps entre Nostromo/Troisième partie/Chapitre XII et https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k3458680h/f4.item.zoom Merci


Si c’est le cas, soit on abandonne, soit on modifie le texte en conséquence, mais ça va être un sacré boulot, pour toi et pour moi (découpage)

Cunegonde1 (discussioncontributions)

@Le ciel est par dessus le toit Effectivement ce passage est une réécriture complète. Je soupçonne que ce doit être plus ou moins pareil ailleurs. J'ai fait un test d'OCR, sur les deux premières pages et c'est exploitable[1], mais leur qualité est à peu près correcte, plus loin il y en a qui sont très peu contrastées et ça sera moins bien. Je ne sais pas trop quoi en penser car c'est un très gros boulot de travailler reconstituer un f-s à partir de ces scans, mais c'est un texte reconnu comme un des chefs-d’œuvre de la littérature. De mon point de vue, il faudrait quand même créer le f-s et voir si on peut le corriger tout en laissant en ligne cette version sans scan en attendant quelques années qu'un f-s soit disponible et que nos successeurs ou une IA s'en occupent.

  1. Ne 1, — Feuilleton du Quotidien, — 21 mat 4994. NOSTROMO Joseph CONRAD 2 Traduction de PH. NEEL PREMIERE PARTIE L'ARGENT DE LA MINE CHAPITRE PREMIER Sulaco Au temps de la domination espagnole, et bien longiemps après, la ville de Sula- co, dont l'antiquité est attestée par la luxuriante beauté de ses orangeraies, ne connaissait d'autre importance commer- ciale que celle d'un port de cabotage, do- té d'un assez riche marché local de peaux de bœufs et d'indigo. Les lourds galions de haute mer des con- quérants, dont la moindre évolution exi- geait un vent frais, seraient restés immo- hiles sous les brises légères qui suffisent à faire marcher, d'un simple battement des voiles, nos fins voiliers modernes ; ils ne pouvaient aborder Sulaco, à cause des cal- mes prolongés de son vaste golfe. Certains ports doivent à la présence sournoise de récifs sous-marins, ou aux tempêtes de leurs côfes la difficulté de leur accès ; Nulaco était demeuré un in- violable sanctuaire, protégé contre l'inva- sion du monde commercial par la paix :s0- lennelle et da profondeur de son Golfo �Placido, énorme temple sans toit, ouvert en demi-cercle sur l'Océan, entouré d'un rem- part de hautes montagnes, que drape une funèbre tapisserie de nuages, Sur l'une des faces de cette vaste baie ouverte dans la rive toute droite de la République de Costaguana, le dernier épe- ron de la chaîne côtière forme un cap in- signifiant, nommé la Punta Mala. Du milieu du Golfe, on n'aperçcoit pas la pointe elle-même, mais on distingue, com- me une ombre pâle détachée sur le ciel, l'épaulement d'une montagne à pie, plus éloignée, qui la domine. De l'autre côté, on peut voir, au-dessus de l'horizon clair, flotter légèrement une sorte de tache isolée de brume bleuûtre. C'est la presqu'île d'Azuera, chaos sauvage de roches déchiquetées et de plateaux pierreux, coupés de failles verticales. Détachée d'une côte verdoyante, elle al- longe très avant dans la mer sa rude tête de pierre, au bout d'un col effilé de sable, couvert de misérables buissons épineux. Totalement dépourvue de sources, car l'eau des pluies y ruisselle aussitôt vers la mer, elle ne possède, semble-t-il, pas assez de terre végélale pour nourrir le moindre brin d'herbe. On dirait une terre infernale, et les pau- vres, dont l'obscur besoin de consolation as- socie les idées de mal et de richesses, af- firment qu'elle est maudite à cause de ses trésors cachés, Les habitants du voisinage, € Le > (manœuvres) des « estancias » (fermes), « vaqueros » (bouviers) des plaines maritimes, Indiens soumis qui font des milles pour apporter au marché une botte de cannes à sucre ou un panier de mais, tous ces gens savent que des monceaux d'or fauve dorment dans l'ombre profonde des précipices taillés dans le plateau pier- reux de l'Azuera, �La mine fatale La tradition rapporte qu'aux temps an- ciens, bien des aventuriers périrent pour s'être lancés à la recherche de ces trésors, Mais une aventure plus récente est celle de deux matelots vagabonds, Américains peut-Ctre, mais en tout Cas « gringos » (étrangers . Ces fàâcheux étrangers s'abouchèrent avec un propre à rien, Un « mOoZ0 » (gar- con) fainéant et joueur, pour voler un âne destiné à leur porter un fagot de bois sec, une outre d'eau et des provisions pour quelques jours. Ainsi équipés, et revolvers à la ceinture, ils s0 frayèrent à coups de « machete » un chemin à travers les buissons épineux qui couvrent l'isthme de la presqu'ile, Le lendemain de leur départ, on vit au soir, pour la première fois de mémoire d'homme, une colonne de fumée monter en tournoyant sur la tête de pierre et se dé- tacher légèremeut sur le ciel, au-dessus d'une crête en lame de couteau. Ce ne pouvait être qu'un feu allumé pee les aventuriers. L'équipage d'une goéleite, resiée faute de vent en panne à trois milles du rivage, regarda avec stupeur cette fumée jusqu'à la nuit. dans une crique voisine, une hutte solitaire, avait assisté au départ des trois hommes et at- tendait de leur voir donner signe de vie, ll appela sa femme, au coucher du soleil, et tous deux contemplèrent le prodige avec envie, incrédulité et terreur. C'est tout ce que l'on sait des aventu- riers impies. On ne revit jamais les marins, l'Indien, ni le bourricot volé, Pour l'habitant de Sulaco, sa femme fil dire quelques messes ; le malheureux âne, étant sans péché, avait sans doute été auto- risé à mourir, mais quant aux deux « grin- �gos », victimes de leur fatal succès, on soupconne leurs spectres, éternellement vi- vants, de hanter encore le désert rocailleux. Leurs àmes ne peuvent se résoudre à quitter les corps commis à la garde des trésors déterrés. Is souffrent pour toujours de la faim et de la soif, à côté de leurs ri- chesses, fantômes de « gringos » hérétiques obstinés à souffrir la torture dans leur chair desséchée, là où des chrétiens au- raient renoncé à leurs convoitises pour ob- tenir leur pardon. Tels sont les habitants légendaires d'Azuera, gardiens de ses trésors maudits, et l'ombre légère détachée sur le ciel, d'un côté, la tache arrondie de brouillard bleuté de l'autre, qui coupe le cercle brillant de l'horizon, marquent les deux extrémités de l'immense feston connu sous le nom de Golfo Placido, parce que jamais vent vio- lent ne souffle sur ses eaux, En franchissant la ligne imaginaire tirée de l'Azuera à la Punta Mala, les vaisseaux d'Europe qui vont à Sulaco échappent brusquement à l'effet des fortes brises océaniques. Ils deviennent la proie des vents capricieux qui se jouent d'eux par- fois pendant trente heures de suite. Devant eux, le fond du paisible golfe est envahi le plus souvent par une masse opaque de nuages immobiles. Par les rares matinées claires, une om- bre ncuvelle tombe sur la courbe du golfe. L'aube se lève de la Cordilière, dont les pies sombres découpent hardiment leur profil sur le ciel, et dominent de leurs pentes abruptes un piédestal altier de fo- rèts sorties du rivage même de la mer. Parmi eux, la tête blanche de l'Higucroba s'élève majestueusement dans l'azur, Des masses dénudées de roches énormes sè- ment de minuscules points noirs la blan- cheur de son dôme de ee. Puis, vers midi, quand le soleil chasse du golfe l'ombre des montagnes, les nua- �ges commencent à s'élever des basses val- lées, Is revêtent de leurs sombres haillons les rochers nus des précipices qui sur- plombent les pentes déboisées, masquent les ies, et s'allongent en trainées de suie sur es flancs de l'Higueroba. La Cordillère a disparu comme si elle s'était résolue en masses énormes de va- peurs grises et noires, qui tombent lente- ment vers la mer, pour s'évanouir dans l'air léger, sous la chaleur torride du jour. L'avant-garde des nuages s'efforce, le plus souvent en vain, de gagner le milieu du golfe. Le soleil la mange peu à peu, comme disent les marins. Parfois pourtant, une sombre nue d'orage se détache de la masse principale et parcourt l'étendue du golfe tout entier ; elle passe au-dessus de l'Azuera pour ga- gner le large, où elle éclate en gronde- ments et en flammes, tel un sinistre pirate de l'air planant au-dessus dg l'horizon, dans un combat furieux contre la mer, La nuit, la masse des nuages, qui s'élè- vent plus haut dans le ciel, plonge toute l'étendue du golfe paisible dans une om- bre impénétrable où l'on entend, ça et là, tomber brusquement, et cesser de même, de lourdes averses, Ces nuits opaques sont proverhiales, sur le grand continent, parmi les marins de la côte occidentale, Ciel, terre et mer sem- blent rayés du mond: quand, selon l'ex- pression de là-bas, le Placido s'endort sous son puncho noir, Les rares étoiles, encore allumées au large sous 1a voûte de poix, brillent d'un éclat atténué, comme à l'en- trée d'une caverne profonde, Dans cette immensité, les bateaux flot- tent invisibles sous les pieds des marins, les voiles battent au-dessus de leur tête dans une ombre impénétrable. L'œil de Dieu lui-même, disent-ils avec une sombre impiété, ne pourrait pas, dans �cette obseurité, voir l'œuvre d'une main humaine, et lon appellerait impunsment le diable à son aide, si sa malice n'était aussi mise en défaut par une telle nuit, Les Isabelies Les rives du golfe sont partout abrup- tes : les îles désertes qui se chaufent au soleil, vis-à-vis du port de Sulaco et à la limite mème de l'écran des nuages, se nom- ment les 1sabelles. Il y a la grande Isabelle, la petile Isabelle, toute ronde, et Hermosa, la plus réduite des trois, Cette dernière n'a guère qu'un pied de haut, sur sept pas de large ; elle repré- sente la tête aplatie d'un rocher gris, qui fume comme une cendre chaude après les averses, et où nul homme ne voudrait po- ser son pied nu, avant le coucher du soleil, Sur la Petite Isabelle, un vieux palmier déchiqueté, au En tronc ventru tout hérissé d'épines, véritable sorcier parmi les palmiers, fait frissonner, au-dessus du sa- ble rude, un lugubre bouquet de feuilles desséchées, La Grande Isabelle possède une souree d'eau claire sortie de Ja pente gazonnée d'un ravin., Elle affecte la forme d'un coin posé à plat sur la mer, et déploie sur un mille sa verdure d'émeraude, Elle recèle deux arbres serrés l'un contre l'autre, qui projettent une nappe d'ombre au pied de leurs trones lisses, Un ravin, étendu sur toute la longueur de l'ile, est orné de buissons : fente étroite et creuse vers la rive abrupte, il se fail Ee à peu moins profond jusqu'à l'autre vd, pour aboutir à une pelite plage sa- blonneuse, (A suivre.} Tous droits réservés, k + bnnm
Le ciel est par dessus le toit (discussioncontributions)

Je tiens à rappeler - Gros Clin d'œil - que si je cherche des fs, c’est pour qu’il y en est le moins possible sans. Et que le travail supplémentaire que l’on se rajoute sur ce texte me donne un peu le vertige. Surtout si l’OCR du coup, puisqu’il faut un OCR, risque de ne pas être bon du tout, et depuis que j’ai corrigé le Journal d’un écrivain à mes débuts sur WS, j’ai vraiment un peu de mal avec les OCR de piètre qualité. Merci pour tes recherches en tout cas

Cunegonde1 (discussioncontributions)
Le ciel est par dessus le toit (discussioncontributions)

c’est toi qui décide, car c’est toi qui a la plus grosse partie du travail, mais je serai plutôt pour jeter l’éponge.

Cunegonde1 (discussioncontributions)

@Le ciel est par dessus le toit Entendu, je crois qu'il vaut mieux attendre un éventuel f-s plus simple à importer. Ça m'arrange car je ne manque pas de chantiers en cours.

Le ciel est par dessus le toit (discussioncontributions)

ok on fait comme ça, je nettoie la page de discussion, et précise qu’il ne faut pas prendre ces fs. Merci

Répondre à « Nostromo »
Khardan (discussioncontributions)

Bonsoir,

Voilà, le fichier Fichier:Le Petit Bourguignon-Arsène Lupin-Test.djvu est finalisé. Comme je l'ai dit, j'ai eu un mal fou à rajouter la couche texte:

  1. En OCRisant les images du fichier, cela donnait un résultat pitoyable car certaines images sont trop claires, trop foncées, ou ont des lignes noires en haut, à gauche, à droite et cela donnait un peut de tout.
  2. Du coup, comme on avait le texte déjà là, à peu de choses près, c'est ce texte que j'ai mis dans la couche texte du DjVu
  3. Comme je ne suis pas du tout perl, mais plutôt python, je me suis réécrit le djvu-ocr.pl en python
  4. Mais ce script faisant son boulot de A à Z sans interruption, pour pouvoir insérer ma proche couche texte intermédiaire, je l'ai scindé en 2 scripts distincts: l'un DjVu->OCR->FichierTexte et le second Fichier texte-> Insertion->DjVu; et donc j'en ai profité pour faire des retouches à ce fichier intermédiaire.
  5. Le second script me mangeait des lignes blanches de temps en temps; comme il rajoutait la couche texte par ligne comme ceci :

(page 0 0 1 1
(line 0 0 1 1 "toto")
(line 0 0 1 1 "toto la la")
)

je l'ai transformé pour que la couche texte soit désormais au niveau page:

(page 0 0 1 1
"toto
toto la la")
)

et là c'est beaucoup mieux, en tout cas pour moi.

  1. J'ai inséré (ai-je le droit ?) une couverture avec uniquement des éléments titre/auteur/nom journal/dates prises dans le journal le petit bourguignon: car c'est plus sympa d'avoir un pdf ou epub avec une couverture

et je crois que j'ai fait le tour de mes déboires... Je vais uploader le fichier sur Commons et faire supprimer celui-là. ~~~~.

Fichier sur Commons ► Fichier:Leblanc_-_Arsène_Lupin_contre_Herlock_Sholmes,_1908.djvu

Cunegonde1 (discussioncontributions)

Bravo Notification Khardan :, bien sûr que tu as le droit de rajouter une couverture (en tout cas de mon point de vue de simple contributeur).

Sur le plan technique, j'avais moi aussi ocrisé la version du 28 février, mais j'ai laissé tomber vu la piètre qualité du résultat obtenu.

Cela fait des années que je cherche ici et là un script permettant d'injecter directement une couche texte dans un djvu sans succès (je ne programme pas ou peu).

Le résultat de ta solution revient à ce que fait Hathitrust dans les pdf reconstitués par hathi-downloader.

Le seul point qui me gène c'est que l'on ne peut pas contrôler la couche texte de chaque page ; le script djvu-ocr.pl n'incluant pas cette possibilité.

Pour les ocr que je fais avec Abbyy-Finereader ou avec ocrmypdf (qui utilise tesseract) la couche texte est visible lorsque l'on charge le fichier avec DejaView (de la suite djvulibre) avec l'option "voir/affichage/texte caché".

En tout cas si tu veux bien partager ton script, je le testerai pour voir ce que cela donne.

Khardan (discussioncontributions)

Bonsoir,
Je vais optimiser les scripts que j'ai utilisés avant de te les mettre à disposition. En plus des deux que j'ai (DjVu->OCR->FichierTexte, FichierTexte-> Insertion->DjVu), je vais en faire un troisième pour extraire la couche texte d'un DjVu: DjVu -> FichierTexte de la Couche texte), car le premier ne m'a finalement pratiquement pas servi (puisque j'ai remplacé tout les textes par ce qu'on avait). Bien sûr les 3 FichiersTexte produits ou pris en compte seraient de structure identiques pour que tout soit compatible (et j'ai même envie de le rendre compatible avec le format du Split parce que c'est presque ce que j'ai ; et ce troisième serait beaucoup plus utile du coup. Compter une ou deux semaines au moins, je te tiendrai informé... — Khardan (d) 13 mars 2024 à 18:30 (UTC).

Cunegonde1 (discussioncontributions)

Merci Notification Khardan : pour ces propositions. Toutefois la suite djvu libre propose déjà un programme (djvutxt) en ligne de commande qui extrait la couche texte d'un djvu et djvutoxml qui, couplé avec djvuxmlparser permet d'extraire la couche texte au format xml, de la modifier en tant que de besoin puis de la réinjecter dans le djvu. Le fichier xml est plus facilement manipulable si lors de la création du djvu avec pdf2djvu on choisit l'option --lines (plutôt que des box par mot).

Répondre à « Arsène Lupin 1908 »
VIGNERON (discussioncontributions)
Cunegonde1 (discussioncontributions)
VIGNERON (discussioncontributions)
Cunegonde1 (discussioncontributions)

@VIGNERON Il faut le laisser, je pense qu'au final on le renommera, mais il est toujours en test.

VIGNERON (discussioncontributions)

Très bien. Je le laisse donc.

Et si tu as d'autres fichiers à supprimer, n'hésite pas à les signaler.

Cdlt,

Khardan (discussioncontributions)

Notification VIGNERON : Oui, j'en ai téléchargé une version hier soir avec sa couche texte mais bizarrement certains saut de lignes passent à la trappe dans le djVu. Je tente de trouver d'où ça vient. En tout cas, ce fichier ne devrait pas plus rester d'une semaine encore (le fichier final sera hébergé chez Commons). Je te tiendrai au courant VIGNERON. — Khardan (d) 12 mars 2024 à 19:04 (UTC).

Répondre à « Test toujours utile ? »
Le ciel est par dessus le toit (discussioncontributions)

qu’il faut supprimer cette page que tu as créée. Nono/01/02

Cunegonde1 (discussioncontributions)
Le ciel est par dessus le toit (discussioncontributions)

fait

Répondre à « T’es sûr ? »
Le ciel est par dessus le toit (discussioncontributions)
Répondre à « Benjamin Constant »