Discussion:Les Dames de maison et les filles d’amour

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Dernier commentaire : il y a 3 ans par Cunegonde1
Informations sur l’édition de Les Dames de maison et les filles d’amour

Édition : Les Dames de maison et les filles d’amour : Avec des notices sur les différentes bordels de Paris et les maisons de passe, anonyme.


Source : Münchener DigitalisierungsZentrum (MDZ) permalien


Contributeur(s) : --Cunegonde1 (d) 14 novembre 2020 à 17:46 (UTC)Répondre


Niveau d’avancement : Relu et corrigé


Remarques : La plus proche du fac-similé


Relu et corrigé par : --Cunegonde1 (d) 14 novembre 2020 à 17:46 (UTC)Répondre



Informations sur cette édition[modifier]

  1. Voir la note dans la Bibliographie des ouvrages relatifs à l’amour... par le C. d’I*** (J. Gay), Bécour, 1897, T. 1, col. 784 : « Dames (les) de maison et les filles d’amour, avec des notions sur les différents bordels de Paris, et les maisons de passe. Cour de la Sainte-Chapelle, chez le concierge (vers 1830), in-8 de 108 p., avec 6 mauvaises lithogr. libres. »
    Ouvrage de mœurs sur les lieux publics de Paris, à l’époque des premières années du règne de Louis-Philippe. Rare.
  2. Voir la note dans les Livres de l’Enfer, par Pascal Pia, éd. 1998, Fayard, p. 173, col. 297 : « Les Dames / de maison / ou / Les Filles d’amour. / Avec des notions / sur les différens bordels de Paris / et les maisons de passe. / - / Cour de la Sainte-Chapelle, / chez le concierge.
    1 vol. in-16 jésus (9 x 14,8) de 108 pages (faux-titre et titre compris), plus 4 lithographies libres à légendes. Couverture muette papier bleu foncé.
    Les sept dernières pages de cet ouvrage contiennent la liste et l'adresse de toutes les maisons de tolérance de Paris vers 1830, et le nombre de pensionnaires de chacune de ces maisons. Au total, 156 bordels abritant 1 017 prostituées.
    Édition dont la présentation rappelle celle des brochures de colportage. Elle était apparemment destinée aux étrangers et aux provinciaux connaissant mal Paris et désireux d’aller voir « ces dames ».
    Elle a été condamnée à la destruction par arrêt de la cour d’assises de la Seine, rendu le 9 août 1842.
    B.N. Enfer, 897. Cart. papier marbré rouge, couverture muette conservée. »


La présente édition est similaire à l’exemplaire décrit ci-dessus, une seule lithographie est présente.