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Discussion:Mémoires secrets d’un tailleur pour dames

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Dernier commentaire : il y a 4 ans par Cunegonde1
Informations sur l’édition de Mémoires secrets d’un tailleur pour dames

Édition : Mémoires secrets d’un tailleur pour dames, par une femme masquée ; Mannoury d’Ectot, H. de.


Source : BnF BnF Gallica.


Contributeur(s) : --Cunegonde1 (d) 28 avril 2020 à 13:55 (UTC)Répondre


Niveau d’avancement : Relu et corrigé


Remarques :


Relu et corrigé par : --Cunegonde1 (d) 28 avril 2020 à 13:55 (UTC)Répondre




Notice de la BNF

Titre : Mémoires secrets d’un tailleur pour dames / par une femme masquée
Auteur : Mannoury d'Ectot, H. de.. Auteur du texte
Éditeur : (Bruxelles)
Date d'édition : 1880
Contributeur : Chauvet, Jules-Adolphe (1828-1898). Illustrateur
Sujet : Roman de moeurs français -- 1870-1914
Sujet : Littérature érotique française -- 1870-1914
Type : text
Type : monographie imprimée
Langue : français
Format : 1 vol. (162 p.-[1] f. de front.) : ill. ; 20 cm
Format : Nombre total de vues : 179
Droits : domaine public
Identifiant : ark:/12148/bpt6k8598405
Source : Gallica, département Réserve des livres rares, ENFER-24.
Notice
du catalogue :
(FR-BNF 30872911t)
Provenance : Bibliothèque nationale de France
Date de mise
en ligne :
10/02/2019


Informations sur cette édition

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  1. Voir la note dans la Bibliographie des ouvrages relatifs à l’amour... par le C. d’I*** (J. Gay), Bécour, 1897, T. 3, col. 183-184 : « Mémoires secrets d’un tailleur pour dames, par une femme masquée (anecdotes secrètes sur les dames de l’entourage de Napoléon III), publiés à 10 fr.
    Ce livre n’est pas un pamphlet, ce sont des racontars de salons et de brasseries ; quelques-uns, quoique fort connus, seraient infailliblement perdus si une dame titrée, qui fut aussi de cette société, n’eût entrepris de réunir en un volume ces historiettes qui ont été vécues et qui réfïètent une des faces de la période impériale.
    Tous les lecteurs qui ont connu le second empire y retrouveront facilement les caractères des personnages sur lesquels l’éditeur a mis des noms d’emprunt.
    Les vingt-sept figures n’offrent pas moins d’intérêt que le texte, pour l’interprétation piquante donnée par un artiste tout à fait étranger à ce monde. »
  2. Voir la note dans L’Enfer de la Bibliothèque nationale à la cote Enfer 24 : « Mémoires secrets d’un Tailleur pour Dames, par Une femme masquée, édition illustrée d’un frontispice à l’eau-forte et de vingt-sept figures à mi-page. Bruxelles, Gay et Doucé, éditeurs, 1880.
    1 vol. in-8 de ii-162 pages, broché, couv. impr., avec un frontispice en bistre sur Chine volant de Chauvet et 27 vignettes. Couverture imprimée, catalogue au dos. Tiré à 100 exempl. numérotés (n° 17) sur papier de Hollande et 10 exempl. sur papier de Chine. Les vignettes en ovale, gravées sur bois, sont signées F. L.
    Anecdotes gaillardes sur le second Empire.  »
  3. Voir la note dans les Livres de l’Enfer, par Pascal Pia, éd. 1998, Fayard, pp. 483-484, cols. 912-913 : « Mémoires secrets / d’un / Tailleur / pour Dames / par / Une femme masquée / - / Edition illustrée d’un frontispice à l’eau-forte et de vingt-sept / figures à mi-pages, / [fleuron] / Bruxelles | Gay et Doucé, éditeurs | - | 1880.
    1 vol. in-8 couronne (12,1 x19,2) de 2 ff.n.ch. (garde et faux-titre), 162 pages, 1 f. blanc, plus un frontispice tiré sur Chine.
    Titre imprimé en noir et rouge. Couverture papier gris, imprimée en noir, même libellé que le titre. Au verso du second plat de la couverture, annonce des « Dernières publications de Gay et Doucé à Bruxelles ». Au verso du faux-titre: Tiré à 100 exemplaires sur papier de Hollande et 10 exemplaires sur papier de Chine.
    Le frontispice, tiré en bistre, est une gravure de J. Chauvet. Les figures à mi-page mentionnées dans le titre sont des vignettes ovales, gravées sur bois, placées en tête des chapitres. Elles sont signées FL
    Ouvrage mis en vente au prix de 10 francs.
    Un avant-propos dit: « Ceci n’est pas un pamphlet, ce sont des racontars de salons et de brasseries, quelques-uns, quoique fort connus, seraient infailliblement perdus si une dame titrée, qui fut aussi de cette société, n’eût entrepris de réunir en un volume ces historiettes qui ont été vécues et qui reflètent une des faces de la période impériale. »
    L'auteur de cet ouvrage serait en effet une « dame titrée » : la marquise de Mannoury d’Ectot (née Le Blanc), qui fréquenta le monde des lettres et de la presse dans les dernières années du second Empire et jusque vers 1885.
    B.N. Enfer, 24. Cart. papier marbré rouge. Exemplaire n° 17. »