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Discussion:Un été à la campagne

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Dernier commentaire : il y a 5 ans par Cunegonde1
Informations sur l’édition de Un été à la campagne

Édition : Un été à la campagne : correspondance de deux jeunes parisiennes / recueillie par un auteur à la mode. Anonyme


Source : BnF BnF Gallica.


Contributeur(s) : --Cunegonde1 (d) 19 octobre 2019 à 14:18 (UTC)Répondre


Niveau d’avancement : Relu et corrigé


Remarques :


Relu et corrigé par : --Cunegonde1 (d) 19 octobre 2019 à 14:18 (UTC)Répondre


De quoi s’agit-il ?

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Un autre exemplaire de la même édition (Poulet Malassis), présent à la BNF, sans fac-similé porte la cote Enfer-840 (FR-BNF 30864975b).

1. Bibliographie des ouvrages relatifs à l’amour du C. d’I*** (Jules Gay), T. 3, cols. Gallica 1284, 1284 : Un été à la campagne est attribué à G. Droz.

2. Enfer de la Bibliothèque nationale : Le titre « L’auteur d’un été à la campagne » est cité dans le livre « le fétichisme en amour » (recueil Les vacances au château – Le fétichisme en amour) il est attribué à Gustave D… qui pourrait être Gustave Droz comme le suggère la version anglaise de ce livre (Gallica).

La notice de l’édition de 1880 (Enfer-822) dans l’Enfer de la Bibliothèque nationale porte un paragraphe relatif à la présente édition de 1868 :

« La première édition (Poulet-Malassis, 1868) a été condamnée à la destruction par jugement du Tribunal correctionnel de Lille, du 6 mai 1868, inséré au Moniteur du 19 septembre suivant (Affaire contre Duquesne).

Ce petit roman épistolaire et libertin a été attribué à Gustave Droz. On assure, d’autre part, que cette correspondance véritable aurait été apportée à Poulet-Malassis qui la mit au point, retranchant beaucoup de lettres, modifiant des passages. On affirme aussi que ces lettres auraient été forgées par une femme, mais nous avons de la peine à le croire et nous pensons qu’elles sont l’œuvre d’un homme. C’est, en tout cas, un ouvrage spirituel, sans grossièreté et d’une audace qui n’a rien de choquant. Car pour tout ce qui touche au libertinage, il reste ici fort au-dessous de ce que l’on trouve dans des ouvrages modernes, à succès, et publiés au grand jour. L’attribution à Gustave Droz pourrait bien être la plus fondée. »

3. Dictionnaire des œuvres érotiques, Mercure de France, 1971, p. 492 : Selon Martial Beauvais, « UN ÉTÉ À LA CAMPAGNE, Correspondance de deux jeunes Parisiennes recueillie par un auteur à la mode, [est] à tort ou à raison attribué à Gustave Droz (1832 1895). L’édition originale, qui ne porte pas d’indication de lieu, est de 1868. Il s’agit d’une édition clandestine imprimée à Bruxelles par Poulet-Malassis. Il existe une autre édition, datée Genève, 1880. — Adèle F., dix-huit ans, et Albertine R., sous-maîtresse de pensionnat à Paris. Ensemble elles ont vécu de doux et savoureux moments, que la correspondance évoque. Celle-ci durera quelques mois (de mai à octobre 18..) Le résumé de ce roman par lettres tient dans son dénouement : Adèle, sur le point de devenir vicomtesse de F., envoie en cadeau un phallus artificiel à la sous-maîtresse de pensionnat. Celle-ci en fait usage pour compléter l’initiation d’une pensionnaire. Puis se marie à son tour. Suit un épilogue plausible, où se dessineront d’honnêtes carrières dans le monde. Peut-être afin de compléter ou pimenter un récit aussi maussade qu’espiègle, l’auteur y introduit une scène connue de Pétrone et propose des vers saphiques. M. B. »