Histoire de l’empire de Russie sous Pierre le Grand/Édition Garnier/1/Chapitre 10

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Histoire de l’empire de Russie sous Pierre le GrandGarniertome 16 (p. 462-470).
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CHAPITRE X.

CONJURATION PUNIE. MILICE DES STRÉLITZ ABOLIE. CHANGEMENTS DANS LES USAGES, DANS LES MŒURS, DANS L’ÉTAT ET DANS L’ÉGLISE.

Il avait pourvu à tout en partant, et même aux moyens de réprimer une rébellion. Ce qu’il faisait de grand et d’utile pour son pays fut la cause même de cette révolte.

De vieux boïards, à qui les anciennes coutumes étaient chères ; des prêtres, à qui les nouvelles paraissaient des sacriléges, commencèrent les troubles. L’ancien parti de la princesse Sophie se réveilla. Une de ses sœurs[1], dit-on, renfermée avec elle dans le même monastère, ne servit pas peu à exciter les esprits : on représentait de tous côtés combien il était à craindre que des étrangers ne vinssent instruire la nation[2]. Enfin, qui le croirait ? la permission que le czar avait donnée de vendre du tabac dans son empire, malgré le clergé, fut un des grands motifs des séditieux. La superstition, qui, dans toute la terre, est un fléau si funeste et si cher aux peuples, passa du peuple russe aux strélitz répandus sur les frontières de la Lithuanie : ils s’assemblèrent, ils marchèrent vers Moscou, dans le dessein de mettre Sophie sur le trône, et de fermer le retour à un czar qui avait violé les usages en osant s’instruire chez les étrangers. Le corps commandé par Shein et par Gordon, mieux discipliné qu’eux, les battit à quinze lieues de Moscou ; mais cette supériorité d’un général étranger sur l’ancienne milice, dans laquelle plusieurs bourgeois de Moscou étaient enrôlés, irrita encore la nation.

Pour étouffer ces troubles, le czar part secrètement de Vienne, passe par la Pologne, voit incognito le roi Auguste, avec lequel il prend déjà des mesures pour s’agrandir du côté de la mer Baltique, Il arrive enfin à Moscou[3], et surprend tout le monde par sa présence : il récompense les troupes qui ont vaincu les strélitz ; les prisons étaient pleines de ces malheureux. Si leur crime était grand, le châtiment le fut aussi. Leurs chefs, plusieurs officiers et quelques prêtres, furent condamnés à la mort[4] ; quelques-uns furent roués, deux femmes enterrées vives. On pendit autour des murailles de la ville et on fit périr dans d’autres supplices deux mille strélitz[5] ; leurs corps restèrent deux jours exposés sur les grands chemins, et surtout autour du monastère où résidaient les princesses Sophie et Eudoxe. On érigea des colonnes de pierre où le crime et le châtiment furent gravés. Un très-grand nombre qui avaient leurs femmes et leurs enfants à Moscou furent dispersés avec leurs familles dans la Sibérie, dans le royaume d’Astracan, dans le pays d’Azof : par là du moins leur punition fut utile à l’État ; ils servirent à défricher et à peupler des terres qui manquaient d’habitants et de culture.

Peut-être si le czar n’avait pas eu besoin d’un exemple terrible, il eût fait travailler aux ouvrages publics une partie des strélitz qu’il fit exécuter, et qui furent perdus pour lui et pour l’État, la vie des hommes devant être comptée pour beaucoup, surtout dans un pays où la population demandait tous les soins d’un législateur ; mais il crut devoir étonner et subjuguer pour jamais l’esprit de la nation par l’appareil et par la multitude des supplices. Le corps entier des strélitz, qu’aucun de ses prédécesseurs n’aurait osé seulement diminuer, fut cassé à perpétuité, et leur nom aboli. Ce grand changement se fit sans la moindre résistance, parce qu’il avait été préparé. Le sultan des Turcs, Osman, comme on l’a déjà remarqué[6], fut déposé dans le même siècle, et égorgé, pour avoir laissé seulement soupçonner aux janissaires qu’il voulait diminuer leur nombre. Pierre eut plus de bonheur, ayant mieux pris ses mesures. Il ne resta de toute cette grande milice des strélitz que quelques faibles régiments qui n’étaient plus dangereux, et qui cependant, conservant encore leur ancien esprit, se révoltèrent dans Astracan, en 1705, mais furent bientôt réprimés.

Autant Pierre avait déployé de sévérité dans cette affaire d’État, autant il montra d’humanité quand il perdit quelque temps après son favori Le Fort, qui mourut d’une mort prématurée à l’âge de quarante-six ans[7]. Il l’honora d’une pompe funèbre telle qu’on en fait aux grands souverains. Il assista lui-même au convoi, une pique à la main, marchant après les capitaines, au rang de lieutenant qu’il avait pris dans le grand régiment du général, enseignant à la fois à sa noblesse à respecter le mérite et les grades militaires.

On connut après la mort de Le Fort que les changements préparés dans l’État ne venaient pas de lui, mais du czar. Il s’était confirmé dans ses projets par les conversations avec Le Fort ; mais il les avait tous conçus, et il les exécuta sans lui.

Dès qu’il eut détruit les strélitz, il établit des régiments réguliers sur le modèle allemand ; ils eurent des habits courts et uniformes, au lieu de ces jaquettes incommodes dont ils étaient vêtus auparavant : l’exercice fut plus régulier.

Les gardes Préobazinski étaient déjà formées : ce nom leur venait de cette première compagnie de cinquante hommes que le czar, jeune encore, avait exercée dans la retraite de Préobazinski, du temps que sa sœur Sophie gouvernait l’État ; et l’autre régiment des gardes était aussi établi.

Comme il avait passé lui-même par les plus bas grades militaires, il voulut que les fils de ses boïards et de ses knès commençassent par être soldats avant d’être officiers. Il en mit d’autres sur la flotte à Véronise et vers Azof, et il fallut qu’ils fissent l’apprentissage de matelot. On n’osait refuser un maître qui avait donné l’exemple. Les Anglais et les Hollandais travaillaient à mettre cette flotte en état, à construire des écluses, à établir des chantiers où l’on pût caréner les vaisseaux à sec, à reprendre le grand ouvrage de la jonction du Tanaïs et du Volga, abandonné par l’Allemand Brakel. Dès lors les réformes dans son conseil d’État, dans les finances, dans l’Église, dans la société même, furent commencées.

Les finances étaient à peu près administrées comme en Turquie. Chaque boïard payait pour ses terres une somme convenue qu’il levait sur ses paysans serfs ; le czar établit pour ses receveurs des bourgeois, des bourgmestres, qui n’étaient pas assez puissants pour s’arroger le droit de ne payer au trésor public que ce qu’ils voudraient. Cette nouvelle administration des finances fut ce qui lui coûta le plus de peine ; il fallut essayer de plus d’une méthode avant de se fixer.

La réforme dans l’Église, qu’on croit partout difficile et dangereuse, ne le fut point pour lui. Les patriarches avaient quelquefois combattu l’autorité du trône, ainsi que les strélitz : Nicon, avec audace ; Joachim, un des successeurs de Nicon, avec souplesse. Les évêques s’étaient arrogé le droit du glaive, celui de condamner à des peines afflictives et à la mort, droit contraire à l’esprit de la religion et au gouvernement : cette usurpation ancienne leur fut ôtée. Le patriarche Adrien étant mort à la fin du siècle, Pierre déclara qu’il n’y en aurait plus. Cette dignité fut entièrement abolie ; les grands biens affectés au patriarcat furent réunis aux finances publiques, qui en avaient besoin. Si le czar ne se fit pas le chef de l’Église russe, comme les rois de la Grande-Bretagne le sont de l’Église anglicane, il en fut en effet le maître absolu, parce que les synodes n’osaient ni désobéir à un souverain despotique, ni disputer contre un prince plus éclairé qu’eux.

Il ne faut que jeter les yeux sur le préambule de l’édit de ses règlements ecclésiastiques, donné en 1721, pour voir qu’il agissait en législateur et en maître. « Nous nous croirions coupable d’ingratitude envers le Très-Haut si, après avoir réformé l’ordre militaire et le civil, nous négligions l’ordre spirituel, etc. À ces causes, suivant l’exemple des plus anciens rois dont la piété est célèbre, nous avons pris sur nous le soin de donner de bons règlements au clergé. » Il est vrai qu’il établit un synode pour faire exécuter ses lois ecclésiastiques ; mais les membres du synode devaient commencer leur ministère par un serment dont lui-même avait écrit et signé la formule : ce serment était celui de l’obéissance ; en voici les termes : « Je jure d’être fidèle et obéissant serviteur et sujet à mon naturel et véritable souverain, aux augustes successeurs qu’il lui plaira de nommer, en vertu du pouvoir incontestable qu’il en a. Je reconnais qu’il est le juge suprême de ce collége spirituel ; je jure par le Dieu qui voit tout, que j’entends et que j’explique ce serment dans toute la force et le sens que les paroles présentent à ceux qui le lisent ou qui l’écoutent, » Ce serment est encore plus fort que celui de suprématie en Angleterre. Le monarque russe n’était pas à la vérité un des pères du synode, mais il dictait leurs lois ; il ne touchait point à l’encensoir, mais il dirigeait les mains qui le portaient.

En attendant ce grand ouvrage, il crut que, dans ses États, qui avaient besoin d’être peuplés, le célibat des moines était contraire à la nature et au bien public. L’ancien usage de l’Église russe est que les prêtres séculiers se marient au moins une fois ; ils y sont même obligés, et autrefois, quand ils avaient perdu leur femme, ils cessaient d’être prêtres ; mais une multitude de jeunes gens et de jeunes filles, qui font vœu dans un cloître d’être inutiles et de vivre aux dépens d’autrui, lui parut dangereuse : il ordonna qu’on n’entrerait dans les cloîtres qu’à cinquante ans, c’est-à-dire dans un âge où cette tentation ne prend presque jamais, et il défendit qu’on y reçût, à quelque âge que ce fût, un homme revêtu d’un emploi public.

Ce règlement a été aboli depuis lui, lorsqu’on a cru devoir plus de condescendance aux monastères ; mais, pour la dignité de patriarche, elle n’a jamais été rétablie, les grands revenus du patriarcat ayant été employés au payement des troupes.

Ces changements excitèrent d’abord quelques murmures ; un prêtre écrivit que Pierre était l’Antéchrist, parce qu’il ne voulait point de patriarche ; et l’art de l’imprimerie, que le czar encourageait, servit à faire imprimer contre lui des libelles ; mais aussi un autre prêtre répondit que ce prince ne pouvait être l’Antéchrist, parce que le nombre de 666 ne se trouvait pas dans son nom, et qu’il n’avait point le signe de la bête. Les plaintes furent bientôt réprimées[8]. Pierre, en effet, donna bien plus à son Église qu’il ne lui ôta : car il rendit peu à peu le clergé plus régulier et plus savant. Il a fondé à Moscou trois colléges où l’on apprend les langues, et où ceux qui se destinaient à la prêtrise étaient obligés d’étudier.

Une des réformes les plus nécessaires était l’abolition ou du moins l’adoucissement de quatre grands carêmes : ancien assujettissement de l’Église grecque, aussi pernicieux pour ceux qui travaillent aux ouvrages publics, et surtout pour les soldats, que le fut l’ancienne superstition des Juifs de ne point combattre le jour du sabbat. Aussi le czar dispensa-t-il au moins ses troupes et ses ouvriers de ces carêmes, dans lesquels d’ailleurs, s’il n’était pas permis de manger, il était d’usage de s’enivrer. Il les dispensa même de l’abstinence les jours maigres ; les aumôniers de vaisseau et de régiment furent obligés d’en donner l’exemple, et le donnèrent sans répugnance.

Le calendrier était un objet important. L’année fut autrefois réglée dans tous les pays de la terre par les chefs de la religion, non-seulement à cause des fêtes, mais parce que anciennement l’astronomie n’était guère connue que des prêtres. L’année commençait au premier de septembre chez les Russes ; il ordonna que désormais l’année commencerait au premier de janvier, comme dans notre Europe. Ce changement fut indiqué pour l’année 1700, à l’ouverture du siècle, qu’il fit célébrer par un jubilé et par de grandes solennités. La populace admirait comment le czar avait pu changer le cours du soleil. Quelques obstinés, persuadés que Dieu avait créé le monde en septembre, continuèrent leur ancien style ; mais il changea dans les bureaux, dans les chancelleries, et bientôt dans tout l’empire. Pierre n’adoptait pas le calendrier grégorien que les mathématiciens anglais rejetaient, et qu’il faudra bien un jour recevoir dans tous les pays[9].

Depuis le ve siècle, temps auquel on avait connu l’usage des lettres, on écrivait sur des rouleaux, soit d’écorce, soit de parchemin, et ensuite sur du papier. Le czar fut obligé de donner un édit par lequel il était ordonné de n’écrire que selon notre usage.

La réforme s’étendit à tout. Les mariages se faisaient auparavant comme dans la Turquie et dans la Perse, où l’on ne voit celle qu’on épouse que lorsque le contrat est signé, et qu’on ne peut plus s’en dédire. Cet usage est bon chez des peuples où la polygamie est établie, et où les femmes sont renfermées ; il est mauvais pour les pays où l’on est réduit à une femme, et où le divorce est rare.

Le czar voulut accoutumer sa nation aux mœurs et aux coutumes des nations chez lesquelles il avait voyagé, et dont il avait tiré tous les maîtres qui instruisaient alors la sienne.

Il était utile que les Russes ne fussent point vêtus d’une autre manière que ceux qui leur enseignaient les arts, la haine contre les étrangers étant trop naturelle aux hommes, et trop entretenue par la différence des vêtements. L’habit de cérémonie, qui tenait alors du polonais, du tartare, et de l’ancien hongrois, était, comme on l’a dit[10], très-noble ; mais l’habit des bourgeois et du bas peuple ressemblait à ces jaquettes plissées vers la ceinture, qu’on donne encore à certains pauvres dans quelques-uns de nos hôpitaux. En général la robe fut autrefois le vêtement de toutes les nations ; ce vêtement demandait moins de façons et moins d’art : on laissait croître sa barbe par la même raison. Le czar n’eut pas de peine à introduire l’habit de nos nations, et la coutume de se raser à sa cour ; mais le peuple fut plus difficile ; on fut obligé d’imposer une taxe sur les habits longs et sur les barbes. On suspendait aux portes de la ville des modèles de justaucorps : on coupait les robes et les barbes à qui ne voulait pas payer. Tout cela s’exécutait gaiement, et cette gaieté même prévint les séditions[11].

L’attention de tous les législateurs fut toujours de rendre les hommes sociables ; mais, pour l’être, ce n’est pas assez d’être rassemblés dans une ville, il faut se communiquer avec politesse : cette communication adoucit partout les amertumes de la vie. Le czar introduisit les assemblées, en italien ridotti, mot que les gazetiers ont traduit par le terme impropre de redoute. Il fit inviter à ces assemblées les dames avec leurs filles habillées à la mode des nations méridionales de l’Europe ; il donna même des règlements pour ces petites fêtes de société. Ainsi jusqu’à la civilité de ses sujets, tout fut son ouvrage et celui du temps.

Pour mieux faire goûter ces innovations, il abolit le mot de golut, esclave, dont les Russes se servaient quand ils voulaient[12] parler aux czars, et quand ils présentaient des requêtes ; il ordonna qu’on se servît du mot de raad, qui signifie sujet. Ce changement n’ôta rien à l’obéissance, et devait concilier l’affection. Chaque mois voyait un établissement ou un changement nouveau. Il porta l’attention jusqu’à faire placer sur le chemin de Moscou à Véronise des poteaux peints qui servaient de colonnes milliaires de verste en verste, c’est-à-dire à la distance de sept cent cinquante pas, et fit construire des espèces de caravansérails de vingt verstes en vingt verstes.

En étendant ainsi ses soins sur le peuple, sur les marchands, sur les voyageurs, il voulut mettre quelque pompe dans sa cour, haïssant le faste dans sa personne, et le croyant nécessaire aux autres. Il institua l’ordre de Saint-André[13] à l’imitation de ces ordres dont toutes les cours de l’Europe sont remplies. Gollovin, successeur de Le Fort dans la dignité de grand-amiral, fut le premier chevalier de cet ordre. On regarda l’honneur d’y être admis comme une grande récompense. C’est un avertissement qu’on porte sur soi d’être respecté par le peuple ; cette marque d’honneur ne coûte rien à un souverain, et flatte l’amour-propre d’un sujet sans le rendre puissant.

Tant d’innovations utiles étaient reçues avec applaudissement de la plus saine partie de la nation, et les plaintes des partisans des anciennes mœurs étaient étouffées par les acclamations des hommes raisonnables.

Pendant que Pierre commençait cette création dans l’intérieur de ses États, une trêve avantageuse avec l’empire turc le mettait en liberté d’étendre ses frontières d’un autre côté. Mustapha II, vaincu par le prince Eugène à la bataille de Zenta, en 1697, ayant

perdu la Morée conquise par les Vénitiens, et n’ayant pu défendre Azof, fut obligé de faire la paix avec tous ses vainqueurs ; elle fut conclue à Carlovitz[14] entre Petervaradin et Salankernen, lieux devenus célèbres par ses défaites. Temisvar fut la borne des possessions allemandes et des domaines ottomans. Kaminieck fut rendu aux Polonais ; la Morée et quelques villes de la Dalmatie, prises par les Vénitiens, leur restèrent pour quelque temps, et Pierre Ier demeura maître d’Azof et de quelques forts construits dans les environs. Il n’était guère possible au czar de s’agrandir du côté des Turcs, dont les forces, auparavant divisées, et maintenant réunies, seraient tombées sur lui. Ses projets de marine étaient trop grands pour les Palus-Méotides. Les établissements sur la mer Caspienne ne comportaient pas une flotte guerrière : il tourna donc ses desseins vers la mer Baltique, sans abandonner la marine du Tanaïs et du Volga.

  1. Eudoxe. Voyez la page suivante.
  2. Manuscrits de Le Fort. (Note de Voltaire.)
  3. Septembre 1698. (Id.)
  4. Mémoires du capitaine et ingénieur Perri, employé en Russie par Pierre le Grand. (Id.)
  5. Manuscrits de Le Fort. (Note de Voltaire.)
  6. Page 445 ci-dessus ; et tome XIII, page 137.
  7. 12 mars 1699, n. st. (Note de Voltaire.)
  8. Voltaire a dit, dans L’Histoire de Charles XII (voyez dans ce volume, page 160), quel fut le moyen de répression qu’employa Pierre Ier.
  9. Le calendrier grégorien n’est pas encore admis en Russie ; il n’a été reçu en Angleterre qu’en 1752.
  10. Page 420.
  11. Il y eut moins de gaieté que le dit Voltaire. Ce fut même le germe d’un mécontentement qui éclata plus tard en révolte. (G. A.)
  12. Au lieu de voulaient, les éditions, originale de 1759, in-4° de 1768, encadrée de 1775, portent pouvaient. (B.)
  13. 10 septembre 1698. On suit toujours le nouveau style. (Note de Voltaire.)
  14. 1699, 20 janvier. (Note de Voltaire.)