L’Iliade (Schiller)

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Poésies
Traduction par Adolphe Régnier.
Hachette (1p. 355).

L’ILIADE[1]


Déchirez, tant qu’il vous plaira, la couronne d’Homère, et comptez les pères de cette œuvre accomplie, éternelle ! elle n’a toujours pourtant qu’une mère, et de cette mère elle a les traits : tes traits immortels, ô Nature !

  1. Inséré d’abord dans les Heures de 1795, c’est-à-dire de l’année même où Wolf publia la première partie de ses Prolégomènes sur Homère.