L’Iliade (Schiller)
Apparence
Poésies
L’ILIADE[1]
Déchirez, tant qu’il vous plaira, la couronne d’Homère, et comptez les pères de cette œuvre accomplie, éternelle ! elle n’a toujours pourtant qu’une mère, et de cette mère elle a les traits : tes traits immortels, ô Nature !
- ↑ Inséré d’abord dans les Heures de 1795, c’est-à-dire de l’année même où Wolf publia la première partie de ses Prolégomènes sur Homère.