Les oiseaux dans les harmonies de la nature/Table détaillée
Apparence
J.-B. Baillière, Victor Palmé, Firmin Marchand, (p. TdM).
TABLE DES MATIÈRES.
Pages.
15
I. — De l’Élimination dans les productions végétales et animales.
§ 1.
Fécondité de la terre
17
§ 2.
Éliminations faites par l’homme, pour donner aux produits agricoles leur complet développement
22
§ 3.
Éliminations naturelles
24
§ 4.
Éliminations par la chaleur, le froid, la pluie
25
§ 5.
Éliminations par les plantes
27
§ 6.
Éliminations par les insectes et autres petits animaux. — Puissance que leur donne la spécialité du travail et le nombre. — Dangers qu’ils peuvent nous faire courir
29
§ 7.
Éliminations des insectes et autres petits êtres, par le froid, la pluie et d’autres animaux
37
§ 8.
Des végétaux et des animaux
38
No 1.
Nombre des espèces. — Hiérarchie animale. — Séries principales
38
No 2.
Groupes principaux
47
§ 9.
De l’homme comme régulateur de l’élimination
52
§ 1.
Ses caractères principaux, sa puissance absolue et relative
54
§ 2.
Harmonies des forces de la production et de l’élimination
57
No 1.
La force éliminatrice est toujours assez grande pour dominer l’être à éliminer ; elle n’est pas tellement grande qu’elle ne puisse être elle-même dominée par une autre force
57
No 2.
Les forces de l’élimination doivent concorder avec l’augmentation, la durée et la diminution des forces de la production et avec la décomposition des corps.
58
A
58
B
64
C
67
§ 3.
Conséquences du principe de l’élimination
68
No 1.
Elle a pour objet d’assurer la perpétuité des espèces et le complet développement des produits qu’elle n’atteint pas
68
No 2.
L’élimination, appliquée à la décomposition de certains corps organiques privés de la vie, est nécessaire à la salubrité de l’air et de l’eau, et au renouvellement des végétaux et des animaux
70
No 3.
L’élimination transforme en engrais et en produits nouveaux les corps vivants ou morts auxquels elle s’attaque
71
II. — Des Oiseaux.
§ 1.
Grosseur de l’oiseau
79
§ 2.
De quelques éléments constitutifs de l’oiseau
82
No 1.
Muscles
82
No 2.
Charpente osseuse
85
§ 3.
Appareils de l’élimination
87
No 1.
Appareils de l’élimination proprement dite
87
No 2.
Préhenseur : A. Cou et tête
90
B. Bec
93
§ 4.
Appareils de la locomotion
99
No 1.
Différents modes de locomotion
99
No 2.
Différents modes de station
104
No 3.
Pattes
106
No 4.
Ballons intérieurs
111
No 5.
Ailes
114
§ 5.
Enveloppe
114
No 1.
Peau
114
No 2.
Plumes
116
A. Petites plumes
120
B. Moyennes plumes
120
C. Grandes plumes
121
D. Vitesse du vol
121
a. Queue
126
b. Ailes
127
§ 6.
Sens et instincts
133
§ 7.
Conclusions à tirer de l’organisme de l’oiseau
136
§ 1.
Des espèces et des groupes
138
§ 2.
Végétalivores. — En général, et surtout dans quelques cas particuliers, une certaine part de l’élimination des plantes, des arbres, des graines et des fruits leur a été réservée.
141
§ 3.
Animalivores. C’est surtout comme animalivores que les oiseaux sont importants. Comme modérateurs des petits et moyens animaux, ils préservent les productions agricoles d’une élimination excessive et qui pourrait devenir une véritable consommation
145
§ 4.
Oiseaux de plaine, de bois, d’eau et l’habitation
149
§ 5.
Oiseaux sédentaires et oiseaux de passage
152
§ 6.
Oiseaux communs ou rares.
154
§ 7.
Oiseaux utiles, serviteurs et gibier. — Oiseaux nuisibles
155
§ 8.
Des genres et des familles
156
§ 1.
Certains végétalivores sont d’utiles semeurs, de même que les oiseaux aquatiques sont quelquefois des agents utiles pour l’empoissonnement des eaux
163
§ 2.
Certains animalivores se rendent utiles en accélérant la décomposition des matières qui corrompent l’air et l’eau.
164
§ 3.
Les oiseaux fournissent à la terre un engrais
165
§ 4.
Les oiseaux nous convient aux enseignements et aux nobles joies que l’on trouve dans les contemplations du beau
165
§ 5.
L’acclimatation, la naturalisation et la domestication des oiseaux sauvages sont encore pour nous une source de bienfaits
175
§ unique :
Nous avons le droit de tuer les oiseaux quand ils sont nécessaires à notre existence, mais d’une manière limitée, suivant les circonstances, et en diminuant autant que possible leurs souffrances
181
§ 1.
Ce droit n’existe pas, quand la chair est mauvaise ; quand, étant de bonne qualité, elle est d’un poids insignifiant ; quand, la chair ayant plus d’importance comme qualité et comme poids, la mort de l’oiseau qui la fournit doit nous priver de services considérables.
Il en résulte que nous devons épargner entièrement ou presque complétement les oiseaux de petite taille, ceux qui, comme ouvriers ou artistes, nous rendent le plus de services.
La destruction des oiseaux gibier doit être telle que leur production dans l’avenir soit supérieure ou au moins égale à celle de l’année précédente 184
§ 2.
Non-seulement notre droit de tuer les oiseaux serviteurs et les oiseaux gibier est limité, mais il est même de notre devoir de favoriser leur multiplication par tous les moyens possibles. On voit moins d’oiseaux et plus d’insectes qu’autrefois. Insuffisance des éliminations pratiquées par l’homme sur des animaux de petite taille
189
§ 3.
Nous avons le droit de tuer les oiseaux qui sont devenus nuisibles, mais dans des proportions telles que leurs espèces soient réduites, sans être entièrement détruites
197
§ 1.
Objections faites au sujet de l’utilité des oiseaux
203
§ 2.
Législation
213
§ 3.
Ce qu’est l’ornithologie
215