Aller au contenu

Livre:Guyon - L’Oracle des nouveaux philosophes.djvu

éléments Wikidata
La bibliothèque libre.
TitreL’Oracle des nouveaux philosophes Voir l'entité sur Wikidata
Sous-titrepour servir de suite et d’éclaircissement aux œuvres de M. de Voltaire
AuteurClaude-Marie Guyon Voir l'entité sur Wikidata
Lieu d’éditionBerne
Année d’édition1759
BibliothèqueBibliothèque nationale de France
Fac-similésdjvu
AvancementÀ corriger

Pages


SOMMAIRE
DES MATIERES.


Premiere Conversation. L’Oracle des Nouveaux Philosophes (M. de Voltaire) établit son Systême sur la Religion Naturelle, promet le salut aux Païens, aux Mahométans, aux sectes les plus odieuses. Il veut que les Princes permettent dans leurs États le libre exercice de toutes sortes de cultes. Il se déchaîne contre la fermeté du Catholicisme.
p. 5
IIe. Conversation. Des Principes de l’Oracle. On prouve l’existence de la Loi Naturelle. On fait voir qu’elle ne peut pas former une Religion exacte. On détruit le systême des Nouveaux Philosophes sur la suffisance de la Religion Naturelle. On démontre la nécessité d’une Révélation. On expose les effets divins qu’elle a produits dans le monde.
p. 23
IIIe. Conversation. Réfutation des raisons que l’on voudroit faire valoir en faveur du Tolérantisme.
p. 83
IVe. Conversation. L’Oracle abjure tout ce qu’il avoit dit de conforme au Christianisme & à l’honneur du S. Siege. Il se déclare hautement contre l’un & l’autre. Il blasphême contre Dieu & contre J. C. Il voudroit enlever à la Religion la preuve qu’elle puise de sa Divinité dans les persécutions & dans les Martyrs. Il nie tout.
p. 121
Ve. Conversation. Sous prétexte de liberté de penser, M. de Voltaire se contredit partout. Il ne veut plus reconnoître l’immortalité de l’Ame. Il nous égale aux Bêtes, ou même nous place au-dessous d’elles. Il blasphême contre le Créateur & contre ses Ouvrages. Il voudroit détruire la liberté pour établir le Fatalisme. Tout son systême prouve qu’il est Manichéen.
p. 155
VIe. Conversation. Idée des Nouveaux Philosophes sur la Vertu. M. de Voltaire ne la voit que chez des Païens ; & il n’en apperçoit aucun trait ans les Chrétiens. Selon lui elle compatit avec tous les vices. Satyres & maximes affreuses contre les Rois. Il se déclare ennemi de tous les Tribunaux, de toutes les nations, de tous les états, & du genre humain.
p. 183
VIIe. Conversation. Il déclare la Guerre à tous les Ecrivains Célebres.
p. 214
VIIIe. Conversation. Examen de son Essai sur l’Histoire Générale.
p. 237
IXe. Conversation. Examen de son Siécle de Louis XIV.
p. 283