Livre:Ollivier - L’Empire libéral, tome 1.djvu

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TitreL’Empire libéral, études, récits, souvenirs
VolumeTome premier : du principe des nationalités
AuteurÉmile Ollivier Voir l'entité sur Wikidata
Maison d’éditionGarnier Frères
Lieu d’éditionParis
Année d’édition1895
BibliothèqueBibliothèque nationale de France
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Série 1 ,  2 ,  3 ,  4 ,  5 ,  6 ,  7 ,  8 ,  9 ,  10 ,  11 ,  12 ,  13 ,  14 ,  15 ,  16 ,  17  (avec Table générale)

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TABLE DES MATIÈRES


Pages.
Introduction 
 1
LIVRE PREMIER
DES IDÉES ET DES SENTIMENTS DE LA FRANCE DE 1815 A 1848
ORIGINE, DÉFINITION, DÉVELOPPEMENT, VICTOIRE DU PRINCIPE DES NATIONALITES
CHAPITRE PREMIER
1814 ET 1815
§ 1. — Talleyrand l’homme 
 33
§ 2. — Le politique 
 40
§ 3. — Erfurt 
 47
§ 4. — Le Mariage autrichien 
 52
§ 5. — 1814 
 57
§ 6. — Le Congrès de Vienne 
 63
§ 7. — Les Cent jours 
 74
§ 8. — Le Ministère 
 80
§ 9. — Le duc de Richelieu 
 86
CHAPITRE II
APRÈS 1815 — CHOIX DES ALLIANCES
§ 1. — Quels furent les vaincus en 1815 ? 
 89
§ 2. — Les races latines l’Italie, l’Espagne 
 94
§ 3. — La Prusse 
 96
§ 4. — L’Angleterre 
 100
§ 5. — L’Autriche 
 112
§ 6. — La Russie 
 114
§ 7. — Résumé. Parti qu’adopte Louis XVIII 
 128
CHAPITRE III
PREMIER RÉVEIL DES PEUPLES — METTERNICH
§ 1. — Les révolutions en Espagne, à Naples, en Piémont, en Grèce 
 132
§ 2. — Metternich son système, sa lutte contre les révolutions 
 135
§ 3. — Conversion d’Alexandre 
 139
§ 4. — Victoires de Metternich sur les révolutions en Italie et en Allemagne 
 143
CHAPITRE IV
DU PRINCIPE DES NATIONALITÉS ET DE LA THÉORIE DE L’ÉQUILIBRE
§ 1. — Origine du principe des nationalités ; Napoléon 
 152
§ 2. — Définition du principe des nationalités 
 162
§ 3. — La théorie de l’équilibre 
 179
§ 4. — Résistance du principe des nationalités aux restrictions de la théorie de l’équilibre 
 180
CHAPITRE V
PREMIÈRES LUTTES DU PRINCIPE DES NATIONALITES
§ 1. — Défaite en Espagne du principe des nationalités 
 183
§ 2. — Seconde victoire du principe des nationalités 
 187
§ 3. — Effets de la bataille de Navarin en Hongrie, en Allemagne, en Italie, en Pologne 
 192
§ 4. — Une nouvelle entreprise du principe des nationalités. — Le Zollwerein prussien 
 198
CHAPITRE VI
L’ALLIANCE RUSSE. — CHUTE DE CHARLES X
§ 1. — L’Angleterre contrarie toutes nos expéditions ; la Russie les favorise toutes 
 201
§ 2. — La Russie nous offre une alliance. — Délibération sur l’avantage que nous demanderons : la Belgique, non le Rhin 
 207
§ 3. — Paix d’Andrinople elle assure un nouveau succès au principe des nationalités. — En quoi Charles X le sert aussi. — Opposition de Talleyrand 
 214
§ 4. — Chute de Charles X 
 219
CHAPITRE VII
SECOND RÉVEIL DES PEUPLES ET SECONDE RÉACTION
§ 1. — Réveil des peuples 
 224
§ 2. — L’opinion publique en France. — Elle accepte en ce qui nous concerne les traités de 1815, mais elle demande qu’on aille au secours des peuples 
 231
§ 3. — Comment Louis-Philippe réalise les désirs de l’opinion publique 
 234
§ 4. — Les révolutions sont réprimées. — Colère du parti populaire français : il défend la cause des peuples vaincus 
 243
§ 5. — Dernières résistances en Allemagne et en Italie : Mazzini. — Victoire de la seconde réaction : Nicolas 
 249
CHAPITRE VIII
L’ALLIANCE ANGLAISE — SES ORAGES
§ 1. — Talleyrand à Londres. — Le principe de non-intervention. — La constitution de la neutralité belge 
 263
§ 2. — Les difficultés de l’alliance anglaise. — Palmerston 
 268
§ 3. — Commencement de la question d’Espagne. — Tradition constante de la France à ce sujet 
 276
§ 4. — La guerre entre Méhémet-Ali et le Sultan. — Intervention de la Russie. — Traité d’Unikiar-Skelessi. —Stratford Canning refusé par Nicolas 
 282
§ 5. — Talleyrand découragé de l’alliance anglaise. — Sa retraite. — Sa mort 
 285
§ 6. — La France est exclue du Concert européen par le traité du 13 juillet 1840. — Fallait-il faire la guerre ? 
 291
§ 7. — Effets du traité du 15 juillet 1840 en France et en Angleterre. — Droit de visite. — Union douanière belge. — Entrevue d’Eu. — Tahiti. — Maroc 
 301
CHAPITRE IX
RUPTURE DE L’ALLIANCE ANGLAISE
LES MARIAGES ESPAGNOLS
§ 1. — Comment Guizot et Louis-Philippe en vinrent à conclure les mariages espagnols 
 312
§ 2. — Colère de Palmerston. — Rupture de l’alliance. — Panique anglaise. — Cobden 
 320
§ 3. — Par quelle alliance remplacer l’alliance anglaise rompue ? Impossibilité de l’alliance russe. — Pouvait-on se rapprocher de l’Autriche ? 
 327
CHAPITRE X
TROISIÈME RÉVEIL DES PEUPLES
ENTRÉE EN SCÈNE DE BISMARCK ET DECAVOUR
§ 1. — Les progrès matériels ne suffisent pas toujours à satisfaire les peuples. — Frédéric-Guillaume IV. — Charles-Albert. — Louis-Philippe 
 333
§ 2. — Les conspirations ne sont pas le moyen efficace d’obtenir l’indépendance et la liberté ; l’action constitutionnelle, au contraire, les obtient. — Gioberti, Balbo, Manin, Deak, Carnot 
 349
§ 3. — Résultats de la méthode constitutionnelle en France. — Guizot 
 361
§ 4. — Résultats de la méthode constitutionnelle en Prusse. — Le plenum des États provinciaux. — Débuts de Bismarck. — Commencement de l’affaire des Duchés danois 
 363
§ 5. — Effets de la méthode constitutionnelle en Piémont. — Charles-Albert et Pie IX. — Le statut. — Débuts de Cavour 
 376
§ 6. — Retentissement en Europe des succès de la politique constitutionnelle en Prusse et en Italie. — Recrudescence en France du sentiment bonapartiste et de l’esprit de prosélytisme 
 399
CHAPITRE XI
LES PEUPLES ET LA FRANCE — LE PARTI DE LA FANFARONNADE
L’OPPOSITION SYSTÉMATIQUE
§ 1. — Sentiments des Italiens et des Allemands à notre égard 
 411
§ 2. — Le parti de la fanfaronnade. — Thiers 
 421
§ 3. — L’opposition systématique. — Encore Thiers 
 426
§ 4. — Les véritables patriotes. — Tocqueville, Berryer 
 438
CHAPITRE XII
UNE APPARENCE D’ALLIANCE AUTRICHIENNE
AFFAIRES DE SUISSE ET D’ITALIE
§ 1. — Persistance de nos sympathies pour l’Allemagne et l’Italie : Billault, Lamartine, Victor Hugo. — Autant de raisons de ne passe rapprocher de l’Autriche. — Cela n’arrête pas Guizot 
 445
§ 2. — Opposition de la politique de Palmerston en Italie et en Suisse 
 451
§ 3. — Guizot adopte, en principe, l’alliance autrichienne, et, en fait, se conduit presque toujours comme Palmerston 
 456
§ 4. — Mauvais effet en Suisse, en Italie et en France, de l’apparente alliance autrichienne 
 460
CHAPITRE XIII
LE 24 FÉVRIER 1848 
 466
CHAPITRE XIV
VICTOIRE DU PRINCIPE DES NATIONALITÉS
§ 1. — Le principe des nationalités devient en France la règle de la diplomatie d’État 
 483
§ 2. — L’Allemagne oppose le principe de l’égoïsme à celui des nationalités 
 488
Note. — Une omission dans le recueil des Discours de Thiers 
 493




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