Livre:Whitman - Poèmes, 1914, trad. Bazalgette.djvu
Apparence
Titre | Poèmes de Walt Whitman |
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Auteur | Walt Whitman |
Traducteur | Léon Bazalgette |
Maison d’édition | Éditions de l’Effort Libre, F. Rieder et Cie |
Lieu d’édition | Paris |
Année d’édition | 1914 |
Bibliothèque | Internet Archive |
Fac-similés | djvu |
Avancement | À corriger |
Pages
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TABLE
Note du Traducteur
Mon Legs
En commençant mes études
En tournées à travers les États
J’entends chanter l’Amérique
Ne me fermez pas vos portes
Une femme m’attend
Sortie de la foule, océan qui roule
Combien de temps fûmes-nous trompés, nous deux
Je vous ai entendus, doux et solennels chants de l’orgue
Pour toi, ô Démocratie
Chroniqueurs des âges futurs
Vous ne trouverez ici que des racines
Cité d’orgies
À un étranger
En ce moment où je suis seul
En fendant de la main l’herbe des prairies
Débordant de vie à cette heure
Sur le bac de Brooklyn
Un chant de joies
À vous
À la frégate
Aux riches qui donnent
Cité des vaisseaux
L’étrange veillée qu’une nuit j’ai passée
Le panseur de plaies
Donnez-moi le splendide soleil silencieux
Ô gars des prairies au visage tanné
Réconciliation
Il y avait une fois un enfant qui sortait chaque jour
La morgue
Cet engrais
À un révolutionnaire d’Europe vaincu
De derrière ce masque
La voix
À celui qui fut crucifié
À une fille publique
Miracles
Que suis-je, après tout
Cosmos
Qui veut apprendre ma leçon entière
Toujours cette musique autour de moi
Oh toujours vivre et toujours mourir
À quelqu’un qui va bientôt mourir
L’invocation suprême
Toi, globe là-haut
Visages
À une locomotive en hiver
Mannahatta
Tout est vérité
Excelsior
Pensées
Intermédiaires
Esprit qui as façonné cette nature
Au soleil couchant
Au moment où ils tirent à leur fin
Adieu !
Hautaines tes lèvres, rauque ta voix, ô mer
Remerciements dans ma vieillesse
Vous n’êtes pas, ô mes chants, que de maigres rameaux
Après le souper et la causerie
À la brise du couchant
L’ordinaire