Nouveaux Essais sur l’entendement humain, Flammarion, 1921

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LIVRE PREMIER
DES NOTIONS INNÉES
S’il y a des principes innés dans l’esprit de l’homme 
 31
Qu’il n’y a point de principes de pratique qui soient innés 
 50
Autres considérations touchant les principes innés, tant ceux qui regardent la spéculation que ceux qui appartiennent à la pratique 
 62

LIVRE DEUXIÈME
DES IDÉES
Où l’on traite des idées en général, et où l’on examine par occasion si l’âme de l’homme pense toujours 
 68
Des idées simples 
 78
Des idées qui nous viennent par un seul 
 79

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V
Des idées simples qui viennent par divers sens 
 85
Des idées simples qui viennent par réflexion 
 86
Des idées qui viennent par sensation et par reflexion 
 86
Autres considérations sur les idées simples. 
 86
De la perception 
 90
X
De la rétention 
 96
De la faculté de discerner les idées 
 97
Des idées complexes 
 101
Des modes simples, et premièrement de ceux de l’espace 
 102
De la durée et de ses modes simples 
 108
De la durée et de l’expansion considérées ensemble 
 110
Du nombre 
 111
De l’infinité 
 113
De quelques autres modes simples 
 115
Des modes qui regardent la pensée 
 116
Des modes du plaisir et de la douleur 
 118
De la puissance et de la liberté 
 125
Des modes mixtes 
 166
De nos idées complexes des substances 
 170
Des idées collectives des substances 
 179
De la relation 
 179
De la cause et de l’effet, et de quelques autres relations 
 181
Ce que c’est qu’identité ou diversité 
 182
De quelques autres relations, et surtout des relations morales 
 198
Des idées claires et obscures, distinctes et confuses 
 205
Des idées réelles et chimériques 
 213
Des idées complètes et incomplètes 
 216
Des vraies et des fausses idées 
 218
De l’association des idées 
 219


LIVRE TROISIÈME
DES MOTS
Des mots ou du langage en général. 
 221
De la signification des mots 
 226
Des termes généraux 
 235
Chapitre IV. Des noms des idées simples 
 243
— V. Des noms des modes mixtes et des relations 
 248
— VI. Des noms des substances 
 252
— VII. Des particules 
 278
— VIII. Des termes abstraits et concrets 
 282
— IX. De l’imperfection des mots 
 283
— X. De l’abus des mots 
 289
— XI. Des remèdes qu’on peut apporter aux imperfections et aux abus dont on vient de parler 
 299


LIVRE QUATRIÈME
DE LA CONNAISSANCE
Chapitre I. De la connaissance en général 
 304
— II. Des degrés de notre connaissance 
 310
— III. De l’étendue de la connaissance humaine. 
 323
— IV. De la réalité de notre connaissance 
 339
— V. De la vérité en général 
 344
— VI. Des propositions universelles, de leur vérité et de leur certitude 
 346
— VII. Des propositions qu’on nomme maximes ou axiomes 
 334
— VIII. Des propositions frivoles 
 376
— IX. De la connaissance que nous avons de notre existence 
 381
— X. De la connaissance que nous avons de l’existence de Dieu 
 382
— XI. De la connaissance que nous avons de l’existence des autres choses. 
 391
— XII. Des moyens d’augmenter nos connaissances 
 396
— XIII. Autres considérations sur notre connaissance 
 403
— XIV. Du jugement 
 405
— XV. Delà probabilité 
 406
— XVI. Des degrés d’assentiment 
 408
— XVII. De la raison 
 424
— XVIII. Delà foi et de la raison, et de leurs bornes distinctes 
 445
— XIX. De l’enthousiasme 
 433
— XX. De l’erreur 
 460
— XXI. De la division des sciences 
 472
Supplément 
 479
I. Lettre de M Leibniz à M. Arnauld, docteur en Sorbonne, où il lui expose ses sentiments particuliers sur la métaphysique et la physique 
 481
II. Lettre sur la question si l’essence du corps consiste dans l’étendue 
 485
III. Extrait d’une lettre pour soutenir ce qu’il y a de lui dans le journal des Savants du 18 Juin 1691 
 488
IV. Sur une réforme de la philosophie première, et sur la notion de substance 
 490
V. De la nature en elle-même, ou de la puissance propre et des actions des créatures 
 493
VI. Système nouveau de la nature et de la communication les substances, aussi bien que de l’union qu’il y a entre l’âme et le corps 
 508
VII. Premier éclaircissement 
 518
VIII. Deuxième éclaircissement 
 520