» amour suffirent pour le faire arriver
seul et sans aide au comble du plaisir,
mais ce fut avec un spame si
violent, si prolongé, des convulsions
si fortes, un délire si grand,
que cette vue me fit presqu’oublier
qu’il avait eu tort de fuir d’entre
mes bras. Je me penchai sur lui, le
couvrit de baisers. Je crois bien
qu’au fond l’espoir de rallumer un
feu qui s’était évanoui si mal à-propos,
contribuait à rendre mes caresses
et plus vives et plus tendre ;
j’y perdis mon tems.
» En vain, avec le mouchoir le plus fin, essuyant les traces de ses plaisirs, je saisis toutes les occasions, j’employai tous les moyens pour ranimer mon amant. La nature, pour arriver seul à son but, avait fait un tel effort qu’elle était totalement épuisée. Le spame même n’é-