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Page:Émilie Toulongeon - Lettres de la Vendée, 1801, I.djvu/198

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de Maurice, l’un d’eux nous eût, je crois, avoué qu’il avoit fait quelques mois de campagne ; la bonne et moi dormîmes trois ou quatre heures dans une des huttes, et Maurice resta de garde. Vers le soir, elle nous quitta pour aller chez elle ; il fut convenu qu’elle viendroit nous prendre à la nuit, pour nous y introduire ; et nous y sommes.