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Page:Émilie Toulongeon - Lettres de la Vendée, 1801, II.djvu/143

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que Maurice lui rend plus gravement. Maman t’a écrit il y a peu de jours ; j’ai vu l’adresse de sa lettre : je n’imagine pas qu’elle te parle de moi. Si cependant… ton amitié ne me laisseroit rien ignorer de tout ce qui m’intéresse. Adieu, cousine ; aimes-moi pour notre bien commun ; ton amitié sera dans tous les temps, mon bonheur, ou m’en tiendra lieu.