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Page:Œuvres complètes de Condillac, tome 5 - Traité des animaux, 1803.djvu/31

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[439] Concluons que si les bêtes sentent, elles sentent comme nous. Pour combattre cette proposition, il faudroit pouvoir dire ce que c’est que sentir autrement que nous ne sentons ; il faudroit pouvoir donner quelque idée de ces deux principes sentans, que supose M. de Buffon.


===Chapitre III.