Livre:Œuvres complètes de Condillac, tome 5 - Traité des animaux, 1803.djvu
| Titre | Œuvres complètes de Condillac |
|---|---|
| Sous-titre | revues et corrigées par l’auteur et imprimées sur ses manuscrits autographes |
| Volume | Tome cinquième : Traité des animaux |
| Auteur | Étienne Bonnot de Condillac  |
| Maison d’édition | Dufart |
| Lieu d’édition | Paris |
| Année d’édition | 1803 |
| Bibliothèque | |
| Fac-similés | djvu |
| Avancement | À corriger |
Pages
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71 72 73 74 75 76 77 78 79 80 81 82 83 84 85 86 87 88 89 90 91 92 93 94 95 96 97 98 99 100 101 102 103 104 105 106 107 108 109 110 111 112 113 114 115 116 117 118 119 120 121 122 123 124 125 126 127 128 129 130 131 132 133 134 135 136 137 138 139 140 141 142 143 144 145 146 147 148 149 150 151 152 153 154 155 156 157 158 159 160 161 162 163 164 165 166 167 168 169 170 171 172 173 174 175 176 177 178 179 180 181 182 183 184 185 186 187 188 189 190 191 192 193 194 195 196 197 198 199 200 201 202 203 204 205 206 207 208 209 210 211
Préface
3
TABLE DES MATIÈRES.
TRAITÉ DES ANIMAUX.
PREMIÈRE PARTIE.
Du systême de Descartes, et de l’hypothèse de M. de Buffon.
CHAPITRE PREMIER.
Que les bêtes ne sont pas de purs automates et pourquoi on est porté à imaginer des systèmes qui n’ont point de fondement,
page 7
Chap. II. Que si les bêtes sentent, elles sentent comme nous,
15
Chap. III. Que dans l’hypothèse où les bêtes seroient des êtres purement matériels, M. de Buffon ne peut pas rendre raison du sentiment qu’il leur accorde,
24
Chap. IV. Que dans la supposition où les animaux seroient tout-à-la-fois purement matériels et sensibles, ils ne sauroient veiller à leur conservation, s’ils n’étoient pas encore capables de connoissance,
28
Chap. V. Que les bêtes comparent, jugent, qu’elles ont des idées et de la mémoire,
40
Chap. VI. Examen des observations que M. de Buffon a faites sur les sens,
48
Conclusion de la première partie,
67
SECONDE PARTIE.
Systême des facultés des animaux,
pag. 81
CHAPITRE PREMIER.
De la génération des habitudes communes de tous les animaux,
page 83
Chap. II. Systême des connoissances dans les animaux,
87
Chap. III. Que les individus d’une même espèce agissent d’une manière d’autant plus uniforme, qu’ils cherchent moins à se copier ; et que par conséquent les hommes ne sont si différens les uns des autres que parce que ce sont de tous les animaux ceux qui sont le plus portés à l’imitation,
93
Chap. IV. De langage des animaux,
100
Chap. V. De l’instinct et de la raison,
111
Chap. VI. Comment l’homme acquiert la connoissance de Dieu,
125
Chap. VII. Comment l’homme acquiert la connoissance des principes de la morale,
147
Chap. VIII. En quoi les passions de l’homme différent de celles des bêtes,
153
Chap. IX. Système des habitudes dans tous les animaux ; comment il peut être vicieux ; que l’homme a l’avantage de pouvoir corriger ses mauvaises habitudes,
163
Chap. X. De l’entendement et de la volonté, soit dans l’homme, soit dans les bêtes,
179
Conclusion de la seconde partie,
186
Lettre de M. l’Abbé de Condillac, à l’Auteur des Lettres à un Américain,
191
FIN DE LA TABLE.