Page:Œuvres complètes de H. de Balzac, X.djvu/127

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— Paris, dit-elle, est une terre bien hospitalière ; il accueille tout, et les fortunes honteuses, et les fortunes ensanglantées. Le crime et l’infamie y ont droit d’asile, y rencontrent des sympathies ; la vertu seule y est sans autels. Oui, les âmes pures ont une patrie dans le ciel ! Personne ne m’aura connue ! J’en suis fière.

Et la marquise resta pensive.

Paris, novembre 1830.