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me perſuader que s’il n’eſt pas ſans defaut, il n’eſt point auſsi ſans quelque beauté capable de toucher les grandes ames ; et je ferois tort à cette penetration d’eſprit, et à cette juſteſſe de diſcernement que tout le monde admire en Vostre Altesse, ſi je croyois cet Ouvrage tout à fait indigne des applaudiſſemens dont vous l’avez honnoré.
C’eſt auſsi dans cette confiance que je prens la liberté de vous l’offrir, pour avoir lieu de vous donner une mar-