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Page:About - Le Nez d’un notaire, coll. Nelson.djvu/133

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— La peau de cet homme-là n’est bonne à rien, dit le docteur. Rappelez-vous que les jardiniers prennent leurs greffes sur les arbres les plus sains et les plus vigoureux. Choisissez-moi un gaillard solide parmi les gens de votre maison ; il y en a.

— Oui ; mais vous en parlez bien à votre aise. Les gens de ma maison sont tous des messieurs. Ils ont des capitaux, des valeurs en portefeuille ; ils spéculent sur la hausse et la baisse, comme tous les domestiques de bonne maison. Je n’en connais pas un qui voulût acheter, au prix de son sang, un métal qui se gagne si couramment à la Bourse.