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Page:About - Le Nez d’un notaire, coll. Nelson.djvu/156

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plaisirs de la vie et t’élever au-dessus de tes pareils !

Il se défendait comme un beau diable contre ces tentatives de corruption ; mais on frappa tant de petits coups répétés sur son crâne épais, qu’on ouvrit un passage aux idées fausses, et le cerveau fut entamé.

Les dames vinrent aussi. M. L’Ambert en connaissait beaucoup, et de tous les mondes. Romagné assista aux scènes les plus diverses ; il entendit des protestations d’amour et de fidélité qui manquaient de vraisemblance. Non seulement M. L’Ambert ne se privait pas de mentir richement devant lui ; mais il