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quand le vin manque, on boit de l’eau ; mais quand le blé périt, il n’y a plus de pain, il n’y a plus d’hommes ! »
Je me suis peut-être étendu trop longuement sur un petit voyage obscur où je n’ai rencontré ni monuments, ni belles dames, ni aventures romanesques. Des paysans, toujours des paysans ! Mais notre bien-aimé Alfred de Musset, dans un de ses plus gracieux chefs-d’œuvre, a pris soin de me rimer une excuse :
- Ces pauvres paysans, pardonne-moi lecteur,
- Ces pauvres paysans, je les ai sur le cœur.