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Page:Adolphe Orain - De la vie à la mort - Tome premier.djvu/211

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Avec mes camarad’s j’allais m’y promener,
Personn’ ne m’empêchait, personn’ ne m’empêchait.

— Tu n’es plus chez ton pèr’, tu n’es plus chez ta mère,
Entendre les discours et les plaisirs d’amour.

Comm’ t’étais chez ton pèr’, comm’ t’étais chez ta mère,
Fillette à marier, fallait donc y rester.

Autres Chansons de Mariage
Refrain :

Parlons du jeu, parlons du mariage,
Parlons d’amour, mais point d’s’y marier.

Et point d’s’y marier, ni s’y mettre en ménage,
Car arriv’ trop souvent du mécontentement.

Parlons du jeu, etc.

Si par malheur, je prends une femm’ qui soit belle,
Je vois bien du danger pour m’y rendre jaloux.

Parlons du jeu, etc.