Page:Aimard - Balle france, 1867.djvu/113

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cher une route ; pour le moment, toutes lui étaient bonnes, pourvu qu’elles l’éloignassent des ennemis auxquels il avait si providentiellement échappé.


De nombreux cadavres jonchaient la plaine.

Pourtant, après avoir galopé pendant environ une heure à travers bois, rassuré par le silence complet qui régnait autour de lui, il ralentit peu à peu le pas de sa monture et prit une allure plus modérée.

Il était grand temps que cette idée lui vînt, car