Page:Aimard - Les invisibles de Paris, 1893.djvu/29

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D’Entragues prit l’arme qui venait de s’échapper des mains défaillantes du blessé.

Une retraite de corps, de gauche à droite, fit dévier son épée, qui fila entre le bras gauche et le flanc de Mauclerc.

Alors il se passa quelque chose d’atroce.

Mauclerc, qui serrait l’arme de son adversaire de façon à paralyser toute attaque nouvelle, au lieu de rompre et de se mettre en garde, comme tout combattant loyal aurait fait, prit son temps, choisit bien sa place et plongea